L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
Une étude transversale a été effectuée sur 700 enfants âgées de 5-12 ans à partir de questionnaires complétés par les parents et d'une polysomnographie (PSG) pour examiner la prévalence des symptômes d'insomnie et ses facteurs de risques sociodémographiques, subjectifs et polysomnographiques.
La prévalence des symptômes d'insomnie a été de 19.3% et n'a pas significativement changée (20.2%) quand les enfants souffrant de troubles respiratoires ont été exclus de l'étude. Une interaction significative entre sexe et âge a montré que la prévalence des symptômes d'insomnie a été plus élevée chez les filles âgées de 11 à 12 ans (30.6%). Cette différence selon le sexe n'a pas été associée à des différences significatives entre filles et garçons de 11-12 ans en ce qui concerne l'anxiété et les symptômes dépressifs. En revanche, les filles âgées de 11-12 ans souffrant de symptômes d'insomnie mais non les garçons du même groupe présentaient des troubles du sommeil significatifs sur la PSG par rapport à ceux sans symptômes d'insomnie.
En conclusion, ces résultats suggèrent qu'un jeune enfant et préadolescent sur 5 de la population générale a des symptômes d'insomnie. De façon importante, la prévalence des symptômes d'insomnie est maximale chez les filles âgées de 11 à 12 ans et s'associe à des troubles objectifs du sommeil qui pourraient être en relation avec les modifications hormonales associées à la puberté débutante plus qu'à l'anxiété et la dépression.
Commentaires: et pourtant le seul désir des parents c'est que leurs enfants dorment...surtout la nuit...))