L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme.
Certains facteurs de risques sont bien connus :
la prédisposition familiale, la puberté précoce, la ménopause tardive, et l’absence de grossesse.
L’équipe du Pr Valérie Beral du Centre de recherche sur le cancer d'Oxford a prouvé scientifiquement qu’un allaitement prolongé diminue le risque d’apparition de ce cancer.
NEUROLOGUE
Merci pour l`info , est-ce vrais que l`allaitement maternel protège l`enfant contre le diabète type I ? et que le lait " pharmaceutique ou industriel" l`exposerait au diabète I ?
Nephrologue Hospitalo-universitaire
EHU Oran
hamdani.abdeslam@gmail.com
Sur le fait que le lait de substitution augmenterait le risque de DT1, plusieurs études ont été menées depuis les années 1990, dont celle de Norris JM et coll publiée en 1996 sous le titre de: Daisy trial (Diabetes Autoimmunity Study in the Young). La conclusion fut que l'exposition précoce au protéines de lait de vache ou toutes autres protéines alimentaires n'augmentait nullement l'auto-immunité vis à vis des cellules B des ilots de langerhans.
Concernant l'allaitement maternel, il n'a pas été clairement prouvé qu'il protégeait contre le diabète auto-immun, d'ailleurs l'étude de JJ.cooper and associates vient apporter l'évidence qu'il n'y aurait pas de relation prospective entre la durée de l'allaitement maternel ou l'introduction de lait de vache et l'apparition d'auto-immunité envers les cellules B des ilots de langerhans chez les nouveaux nés à haut risque de développer un DT1 (parent de premier degrès diabétique de type 1).
Cependant une étude plus large américano-australo-européenne "TRIGR trial" (trial to reduce IDDM in the genetically at risk) est en cours, et a pour but d'évaluer l'influence de l'allaitement maternel et l'utilisation de formules hydrolysées (lait dont les protéines ont été hydrolysées de façon à obtenir des particules non antigénique) sur la protection contre le DT1.
Certains ont constaté qu'il y avait moins de risque de développer un DT1 chez les sujets allaitées par lait hydrolysé que chez ceux ayant pris des laits de substitution classiques. Mais tout Cela reste à prouver.