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Dépistage du cancer du sein: un exercice peu populaire
Actualités médicales
Le programme de dépistage du cancer du sein n'est pas encore très populaire au Québec. Seulement 54% des Québécoises de 50 à 79 ans participent à l'exercice, alors que l'objectif du gouvernement était d'atteindre 70%. Et la gestion du programme est si complexe qu'il est impossible d'en déterminer les coûts.

Le Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) a été créé en 1998. Depuis, chaque Québécoise qui atteint 50 ans reçoit une invitation postale à subir sa première mammographie.

Pour participer au programme de dépistage, les femmes doivent se rendre dans l'un des 88 centres de dépistage du Québec. L'attente avant d'obtenir un rendez-vous varie grandement d'un établissement à l'autre. À Montréal, elle peut être de 15 jours à 28 semaines, a-t-on appris hier, lors de la Conférence nationale pour vaincre le cancer.

Mais seulement la moitié des Québécoises de 50 ans à 79 ans prennent part au programme de dépistage. Un chiffre nettement insuffisant selon la Coalition priorité Cancer au Québec.

Le médecin-conseil en dépistage à la direction nationale de la santé publique du Québec, le Dr Guy Roy, affirme que le Québec «a l'un des meilleurs taux de participation en Amérique du Nord». «Il serait très difficile de le dépasser», dit-il.

Certaines régions présentent de très bons taux de participation. C'est le cas du Nord-du-Québec (73%) et de l'Estrie (64%).

Faible participation à Montréal

Mais de toutes les régions, c'est à Montréal que la participation est la plus faible, soit 42%. Selon le Dr Roy, plusieurs raisons expliquent cette situation. «Il y a beaucoup de communautés culturelles qui sont plus difficiles à rejoindre. Par exemple, certaines communautés ont l'habitude d'aller dans des centres qui ne font pas partie du programme. Donc, elles ne font pas partie des statistiques», explique-t-il.

Par exemple, les femmes d'origine italienne qui subissent leurs mammographies à l'hôpital Santa Cabrini ne font pas partie du PQDCS, car cet établissement n'est pas un centre désigné.

Pour éviter les longs délais d'attente, certaines femmes préfèrent aussi subir une mammographie dans une clinique privée. Elles ne font pas non plus partie des statistiques. «En tout, on estime qu'environ 65% des Québécoises de 50 à 79 ans pourrait donc réellement faire du dépistage», évalue la coordonnatrice du PQDCS, Johanne Albert.

Pour s'assurer qu'un nombre maximal de mammographies soient effectuées dans les centres de dépistage, le gouvernement a déterminé que chaque radiologiste doit réaliser au moins 500 tests par année. En Europe, les cibles sont beaucoup plus ambitieuses reconnaît le Dr Roy. Par exemple, l'Angleterre fixe la limite à 5000 mammographies par année par médecin.

«Ce serait irréaliste pour nous de faire ça. En région, les radiologistes ne pourraient pas atteindre cette cible», justifie Mme Albert.

Du technicien au radiologiste, des milliers d'intervenants participent au programme de dépistage du cancer du sein au Québec. La gestion du projet est si complexe, qu'il est impossible d'en chiffrer le coût. «Nous n'avons pas un budget global. Chaque région gère avec son enveloppe. Et les actes médicaux posés sont facturés à la Régie de l'assurance maladie du Québec (RAMQ). C'est difficile de déterminer les coûts totaux», reconnaît Mme Albert.

La dernière étude sur le sujet remonte à 2002. Cette année-là, on avait déterminé que le programme de dépistage du cancer du sein coûtait 20 millions annuellement.

Source: cyperpresse

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