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France:Roselyne Bachelot défend le plan de vaccination H1N1 |
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La ministre de la Santé, accusée d'être entourée d'experts liés à l'industrie pharmaceutique, défend son choix de proposer un vaccin contre la grippe H1N1 à l'ensemble des Français.
Des attaques «surprenantes» et «injustes». Voilà comment la ministre de la Santé qualifie la polémique sur le plan de vaccination contre la grippe H1N1, qui doit débuter mi-novembre pour l'ensemble des Français. Alors que le dispositif gouvernemental, avec 94 millions de vaccins commandés cet été, est accusé de manquer de transparence et d'être sous l'influence de l'industrie pharmaceutique, Roselyne Bachelot assure dans un entretien au Journal du dimanche que, «sur le plan éthique, proposer la vaccination à l'ensemble de la population était et reste parfaitement justifié».
La ministre rappelle qu'au «moment où les commandes [de vaccins] ont été passées, on pensait que deux doses seraient nécessaires pour vacciner la population». «Au final, une dose suffira peut-être. Et si c'est confirmé, ce sera une excellente nouvelle puisque nous pourrions proposer la vaccination beaucoup plus rapidement à la population», dit-elle. Quant au surplus, «le président de la République a déjà annoncé son intention de donner dix millions de doses aux pays défavorisés». Les autres, une fois l'ensemble de la population vaccinée, pourraient être revendues.
Encore faut-il que les Français acceptent de se faire vacciner. «Cette campagne est un gigantesque bide», assurait jeudi le député PS de Paris Jean-Marie Le Guen, pour qui il est totalement exagéré de vouloir vacciner tout le monde. Selon un sondage réalisé par l'Ifop et publié le week-end dernier, seuls 17% y seraient prêts. Première cause : la faible inquiétude. Roselyne Bachot le reconnaît : «cette grippe est peu sévère», et «il est très difficile de faire de la prévention quand le danger n'est pas là». De plus, il y a aussi «toujours eu dans notre pays un mouvement antivaccinal important», juge-t-elle.
«Je n'ai pas derrière mon épaule un goura à la solde des labos»
Cependant, le nouveau virus «peut toucher tout le monde de façon aléatoire», juge la ministre de la Santé. «Il faut donc être très prudent», conseille-t-elle, estimant que «de nombreux Français pourraient changer d'avis». «L'épidémie s'accélère nettement en Ile-de-France, où l'on a enregistré cette semaine une hausse des consultations de 55%», fait-elle remarquer. En outre, «depuis le début de l'épidémie, 42% des personnes hospitalisées ont moins de 15 ans». Pour les enfants de moins de 9 ans, deux doses pourraient toujours être nécessaires.
Appelant toujours clairement aux Français à se faire vacciner, la ministre écarte les accusations de collusion avec l'industrie pharmaceutique. Jeudi, Le Parisien soulignait la manne que représente pour les laboratoires cette campagne vaccinale, relevant les «liaisons parfois dangereuses entre les firmes et les pouvoirs publics». «Je n'ai pas derrière mon épaule un goura à la solde des labos», rétorque Roselyne Bachelot, qui se dit au contraire «entourée d'un panel d'experts très large», faisant preuve «dans l'immense majorité des cas d'une grande indépendance d'esprit». Même lorsqu'ils sont par ailleurs amenés à conseiller les fabricants de vaccin.
lefigaro
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