L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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L'espérance de vie inscrite dans les spermatozoïdes
Le professeur Tomohiro Kono et son équipe de chercheurs de l’Université de Tokyo affirment que la semence des hommes contient un gène qui détermine l’espérance de vie.
Selon un article du Human Reproduction, ceci expliquerait pourquoi les hommes vivent en moyenne moins longtemps que les femmes. Ce gène serait en effet présent chez les deux sexes, mais serait actif seulement chez les mâles.
Pour en arriver à cette conclusion, on a effectué des travaux sur des souris qui ont été créées génétiquement par deux mères, sans aucun père. On a manipulé l’ADN des ovules des souris afin que les gènes se comportent comme des spermatozoïdes. Cette manipulation génétique a par la suite été implantée dans les ovules de souris femelles.
Les souriceaux nés de cette expérience démontrent une espérance de vie plus longue d’un tiers que les souris normales. De plus, ces rongeurs nés de deux mères avaient un meilleur système immunitaire.
C'est le gène Rasgrf 1 qui serait à l’origine de ce phénomène. Celui-ci permet également aux hommes d’être plus gros et plus forts, ce qui explique également pourquoi les souris nées de deux mères étaient beaucoup plus petites à la naissance.