L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Une nouvelle forme du AIDS découverte en ASIE
Une étude publiée le 23 août dernier dans le New England Journal of Medicine révèle qu’une affection mystérieuse dont les symptômes sont comparables à ceux du Sida a été identifiée en Asie, plus précisément en Thaïlande et à Taiwan. Cette maladie, dont les premiers cas ont été rapportés en 2004, affaiblit le système immunitaire. Contrairement au VIH, cependant, elle ne serait pas contagieuse.
Un nouveau Sida détecté aux tréfonds de l’Asie ? Alors que les efforts de recherche sur le Sida auquel nous faisons face depuis plus de 30 ans commence à peine à marquer des points décisifs, la nouvelle fait froid dans le dos. La nouvelle a été imprimée dans les colonnes du New England Journal of Medicine, le 23 août dernier : Une curieuse maladie qui ne touche apparemment que des personnes vivant en Asie ou d’origine asiatique -l’explication serait peut-être due à un facteur environnemental ou génétique- a été repérée par des chercheurs américains, qui ont réalisé des travaux étalés sur une durée de six mois.
Cette affection apparaît vers l’âge de 50 ans en moyenne, et se traduit par un affaiblissement du système immunitaire, comme dans le cas du Sida… sauf qu’aucune des personnes atteintes n’aurait été infectée par le VIH. Une fois ce mal installé, il empêche les malades de lutter contre les infections, laissant les maladies opportunistes profiter de l’occasion pour prospérer. Cinq cas avérés de mort foudroyante ont pour l’instant été observés parmi les personnes atteintes, mais le nombre total de décès lié à ce cousin du Sida n’a pu être estimé. Sarah Brown (NIAID, NIH), à la tête de l’équipe en charge de collecter les données sur cette maladie à Taiwan et en Thaïlande, distille cependant une (toute relative) bonne nouvelle : Il ne serait ici pas question d’une transmission de la déficience immunitaire par le biais d’un virus. Nous serions plutôt face à une maladie auto-immune, l’organisme produisant des anticorps qui se retournent contre lui.