L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Poisson contre les attaques cérébrales
Les personnes âgées qui mangent régulièrement du poisson non frit pourraient avoir un risque plus faible d’avoir de subtiles lésions cérébrales qui augmente le risque d'accident vasculaire cérébral et la démence, selon une étude finlandaise dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue Neurology, de l'American Academy of Neurology.
Grâce à cette recherche qui a examiné 3 660 adultes de 65 ans et plus, les chercheurs de l’Université de Kuopio ont pu constater que ceux qui mangent plus de poisson étaient moins susceptibles de montrer certains signes de lésions cérébrales silencieuses qui entraînent la mort de minuscules zones de tissu en raison d'une insuffisance d'approvisionnement en sang.
Les chercheurs ont observé que parmi les personnes plus âgées, celles qui ont déclaré avoir mangé au moins trois fois par semaine du poisson riche en acides gras oméga-3 ont 25 % moins de risque de souffrir de lésions cérébrales silencieuses.
Les conclusions de cette étude viennent ajouter à la preuve que les poissons riches en acides gras oméga-3, comme le saumon, le maquereau et le thon, ont d’«importants avantages pour la santé», écrivent les chercheurs.
«Les recherches antérieures ont montré que le poisson et l'huile de poisson peuvent aider à prévenir les ACV, mais notre étude est une des seules qui examine les effets du poisson sur les lésions cérébrales silencieuses du cerveau des personnes âgées en bonne santé», a déclaré le docteur Jyrki K. Virtanen, auteur principal de l’étude.
«Plus de recherches sont nécessaires afin de comprendre pourquoi ces types de poissons pourraient avoir des effets protecteurs, mais les acides gras oméga-3 EPA DHA semblent avoir un rôle majeur», a ajouté M. Virtanen. On estime que près de 20 % des adultes de 65 ans et plus qui n’ont pas de lésions cérébrales silencieuses en développeront au moins une d’ici cinq ans.