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| Introduction :
La canneberge (ou grande airelle rouge d'Amérique du Nord) est un arbrisseau qui croît dans les tourbières des régions froides. Sa présence caractérise les sols à sphaignes, imbibés d'eau.
Ses rameaux minces et rampants peuvent atteindre 80 cm, ses fleurs sont petites, ovales et roses et ses baies sont rouges.[1]
Dénominations
Au Québec, on dit aussi atoca ou ataca, son nom en langue iroquoise.
En France, on nomme cette plante également grande airelle rouge d’Amérique du nord[1]. On constate de plus en plus que le terme anglais « cranberry » est en train de s'imposer en France du seul fait que l'industrie agroalimentaire (en particulier, l'industrie laitière) le préfère à son équivalent français.[1]
Qualités thérapeutiques :
Le fruit de canneberge (Vaccinium macrocarpon) est aussi reconnu pour ses qualités thérapeutiques, certains de ses composants contribuant à diminuer la fixation, sur les parois des voies urinaires, de certaines bactéries coliformes (Escherichia coli) souvent responsables d'infections[2].
Ses effets avérés restent cependant limités :
* efficacité pour prévenir les infections urinaires[3], adoucir l'odeur de l'urine, soigner les infections urinaires légères[5]
* efficacité possible pour soigner ou prévenir la gingivite et la parodontite (inflammation des gencives) .
Le jus de canneberge, assez peu consommé en France mais courant en Angleterre, en Amérique du Nord et en Russie, entre notamment dans la composition de nombreux cocktails (dont le Cosmopolitan). Son goût acidulé et astringent le différencie des autres jus et nectars de fruits.
Les nouvelles recherches :
Une équipe de chercheurs de l'Université Laval découvre que la canneberge peut non seulement prévenir les caries, mais aussi nous protéger contre les maladies des gencives et les infections de la bouche.
Certaines composantes de ce fruit ont des propriétés anti-adhésion qui préviennent les caries. Les jus de canneberge ne possèdent pas les mêmes propriétés à cause du sucre qu'ils contiennent.
Le Dr Daniel Grenier, directeur du groupe de recherche en écologie buccale à l'Université Laval explique que certaines composantes de la canneberge empêchent la formation de la plaque dentaire « et donc, s'il n'y a pas une plaque dentaire qui peut s'installer dans la cavité buccale, on peut déjà prédire qu'il y aurait une réduction de la carie dentaire », précise le Dr Grenier.
Manger des canneberges peut non seulement prévenir la carie, mais aussi aider à prévenir les infections des gencives et de la bouche.
« Dans le cas des maladies parodontales, on démontre que ça empêche les bactéries d'aller coloniser la gencive », explique le chercheur.
Même si les recherches auprès des patients ne sont pas commencées, le Dr Grenier n'hésite pas à dire qu'il est dans l'intérêt de tous et bien sûr des enfants, de manger des canneberges. Les résultats de l'étude seront rendus publics jeudi lors d'un colloque à Québec.
Références :
[1] Extrait du wikipedia
[2] AFSSA avis n° 2003-SA-352
[3] la revue Prescrire
[4] Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, juin 2008 |
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#1 |
le octobre 09 2008 19:23:57
#2 |
le octobre 12 2008 00:58:22
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