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Cancer de la prostate
Un test sanguin pour dépister le cancer de la prostate

Une étude menée par le professeur Dr Vivek Goel de l'université de Toronto démontre la fiabilité et l'utilité du test très controversé de l'antigène prostatique spécifique (APS) dans le cadre du dépistage du cancer de la prostate.

Le test de l'APS est une analyse sanguine qui peut aider à dépister un cancer de la prostate. Il permet de mesurer le taux d'antigène prostatique spécifique produit par la prostate. Il est normal de trouver de petites quantités d'APS dans le sang, mais le taux peut augmenter en présence de troubles de la prostate.

Le taux d'APS varie en fonction de l'âge et a tendance à augmenter chez les hommes de plus
de 60 ans. Un taux élevé d'APS peut être attribuable à plusieurs problèmes de la prostate et
n'est pas nécessairement un signe de cancer. Il peut également arriver que le taux d'APS
demeure normal chez des hommes atteints de cancer de la prostate et qu'il soit élevé chez des hommes souffrant d'hypertrophie bénigne de la prostate.

Pendant des années ce test a été très controversé car il peut avoir un taux élevé de faux positifs qui mènent à des interventions et dustress inutiles.Cette étude .montre que les hommes qui ont subi le test APS avant de ressentir des symptômes ont 35% moins de chance de développer un cancer de la prostate que ceux qui n'ont jamais été dépistés.


Traitement du cancer de la prostate: nouveau test diagnostique


Une équipe multicentrique dirigée par le Centre de recherche en cancérologie (université Laval à Québec) avance qu'un test mis au point par DiagnoCure, une entreprise biotechnologique de la région de Québec, pourrait combler les lacunes du test le plus utilisé actuellement pour diagnostiquer le cancer de la prostate, et peut-être même le remplacer un jour.

D'après une étude menée auprès de 517 hommes, ce nouveau test, appelé uPM3, permet de diagnostiquer le cancer de la prostate avec beaucoup plus de spécificité que le test du PSA sanguin (Prostate Specific Antigen), utilisé aujourd'hui en clinique :
ce nouveau test permet de conclure correctement à la présence ou à l'absence du cancer de la prostate dans 81% des cas, alors que la performance du test du PSA sanguin s'établit à 45%.

Le test uPM3 détecte la présence d'un gène associé au cancer de la prostate, le PCA3, dans un échantillon d'urine obtenu après palpation de la prostate par un médecin. Cette procédure libère des cellules de la prostate qui se retrouvent ainsi dans l'échantillon d'urine servant aux analyses.

Le gène PCA3 est surexprimé dans 95% des cas de cancer de la prostate, ce qui explique pourquoi il est plus spécifique que le test du PSA sanguin. Comme l'uPM3 offre une meilleure performance, il réduit le nombre de biopsies pratiquées inutilement sur des hommes que l'on croit faussement atteints du cancer.
Cette plus grande spécificité se traduirait par des économies substantielles pour le système de santé, mais aussi par des d'heures d'angoisse en moins pour les hommes qui subissent un test de dépistage du cancer de la prostate.


Cancer de la prostate : une découverte inattendue


Le 24 février 2006, le Docteur Klein, directeur du laboratoire d'oncologie à l'Institut urologique
de Cleveland a présenté, lors d'une réunion de la Société américaine d'oncologie clinique à
San Francisco, les résultats de son équipe, lesquels mettent en évidence la présence d'un virus
chez des patients atteints de cancer de la prostate.

L'étude menée sur un échantillon de 86 hommes atteints du cancer de la prostate a révélé la présence du virus chez 45% des hommes possédant une double mutation dans le gène codant la RNAseL contre 1.5% chez les autres patients.

La découverte du virus a été réalisée en utilisant la même méthode qui a permis d'identifier le
virus SARS. Il s'agit d'un nouveau virus nommé XMRV qui s'avère homologue à un virus causant
des leucémies chez la souris.

Des virus sont déjà associés à certains types de cancer, comme le virus de l'hépatite avec le cancer du foie, le papillomavirus avec le cancer du col de l'utérus, l'EBV avec certains lymphomes, mais c'est la première fois qu'un virus est retrouvé dans des cancers de la prostate.

Cependant, l'analyse d'un plus grand nombre d'échantillons est nécessaire avant de conclure à
une causalité virale dans ce type de cancer. Si une telle relation est confirmée, ce virus pourrait constituer une cible thérapeutique de vaccination pour traiter ce type de cancer.



Provenge :

C'est un vaccin contre le cancer de la prostate qui conduit le système immunitaire à attaquer les tumeurs.
La recherche a été conduite sur 127 malades souffrant d'un cancer avancé de la prostate et ne répondant plus à la chimiothérapie.Selon M.Small, professeur à l'université de Californie, après trois ans, 34% des hommes traités avec Provenge étaient encore en vie comparativement à comparativement à 11% de ceux ayant reçu un placebo.
Les malades ayant pris du Provenge ont vécu en moyenne quatre mois et demi de plus que les autres.
Mais il faut souligner que les essais ont été conduits sur un petit nombre de malades dont la santé,outre le cancer, paraissait plus solide que la moyenne.



Des chercheurs identifient une protéine permettant de lutter contre le cancer de la prostate

Les chercheurs de Procyon Biopharma inc ont annoncé qu'ils avaient identifié une nouvelle protéine qui se lie à la protéine sécrétoire de la prostate (PSP94). Cette protéine a été isolée dans le sérum mâle et a une utilité potentielle pour le diagnostic et le pronostic du cancer de la prostate ainsi que pour des applications thérapeutiques.

La protéine sécrétoire de la prostate (PSP94) est une protéine présente naturellement dans le corps humain qui a le potentiel d'empêcher la croissance anormale des cellules. On la retrouve
dans le fluide séminal humain avec l'antigène spécifique de la prostate (PSA) et la phosphatase
acide de la prostate (PAP).

Dans les études pré-cliniques chez les animaux, PSP94 a démontré une activité thérapeutique
dans le traitement du cancer hormono-résistant de la prostate et dans la réduction des niveaux de l'hormone folliculostimulante (FSH).

Procyon a récemment obtenu l'approbation, au Royaume Uni, pour débuter l'essai clinique de
Phase IIa avec le PCK3145, un peptide synthétique analogue à la PSP94 sur des patients ayant un cancer de la prostate à un stade avancé.

L'identification et le clonage de l'ADNc de cette nouvelle protéine qui se lie à la PSP94 permettra le développement d'essais immunologiques plus sensibles pour la détection des formes "libres" ou "liées" de la PSP94 dans le sérum, lesquelles auraient une valeur pronostique dans la détermination de l'agressivité du cancer de la prostate et permettraient un meilleur suivi de l'efficacité du traitement.

Un diagnostic précoce de ce cancer agressif qu'est le cancer de la prostate permettra une intervention thérapeutique plus efficace d'autant plus qu'il n'existe aucun traitement efficace
disponible pour les patients ayant un cancer hormono-résistant avancé de la prostate.

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Commentaires
#1 | La Pharmacienne le décembre 11 2008 15:07:55
Bonjour,

faut revoir la mise en page de l'article, mettre au moins les titres en gras etc. et merci
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