qualité de l'enseignement
|
Razorblade |
Publié le 27-02-2009 18:59
|
MedeSpacien Actif
Messages : 173
Inscription : 17.01.09
|
Avoir le polycop’ à l'avance, personnellement, je m'y suis prêté qu'une seule fois !
J’avais trouvé ça utile dans le sens où je pouvais rattraper des périodes d'inattention^^ mais aussi de noter les plus(+) apportés par rapport aux polycops (car parfois je me retrouvais à noter ce qui a déjà été cité au dépend de l'info en plus)
Donc je dirais que ca pourrait être une alternative intéressante... A tester!
|
|
|
|
La Pharmacienne |
Publié le 27-02-2009 19:12
|
MedeSpacien rédacteur
Messages : 8494
Inscription : 26.10.08
|
Bonsoir..
Nous sommes deux alors sœurettes^^ qu'en pense les autres MedeSpcien(ne)s ? |
|
|
|
alsroemeria |
Publié le 06-03-2009 19:33
|
Nouveau MedeSpacien
Messages : 3
Inscription : 23.01.09
|
bonsoir a tous..
merci DR benatta..
alors pour les cas cliniques je trouve que c'est la moindre les choses puisque on ait tres peu de stages.. des TD avec des cas cliniques et les CAT ça sera super.. pour que vous nous orientiez dans la démarche du diagnostic, comment réfléchir, etc..
j'insiste toujour sur les stages et surtt sur la prise en charge..
pour les polycopes je rejoins mes collèges ça sera bien de les avoir avant le cours mais je crois c'est pas tres pratique pour vous les enseignant..
merci et bonne soirée a tous
see me here in the air not holding on anywhere but holding on so be ware i have secrets i won't share |
|
|
|
Sasunar |
Publié le 09-03-2009 23:27
|
MedeSpacien fidèle
Messages : 430
Inscription : 01.02.09
|
Salem;
La qualité de l'enseignement, c'est l'un des sujets les plus importants et surtout les plus difficils à traiter puisque on est absolument pas pareil, que ce soit l'etudiant ou l'enseignant.
Je pense que la question n'est pas dans les polycops ou les cours magestrals, on ne peut pas obliger un enseignant à utiliser l'ordinateur par exemple parce que certains savent comment y prendre et d'autres qui sont meilleurs sans.
Avant tout, c'est entre l'enseignant et lui meme, chacun sait deja ses capacités et ses limites, quoi qu'il fasse il y'aura toujours des etudiants qui trouveront quelque chose pour le critiquer.
Ca depend aussi du module, du moment du cours car parfois on fait deux de suite, et c'est normal que le deuxieme sera moins assimilé à cause de la fatigue.
Comme etant un etudiant, la premiere chose qu'on cherche c'est le polycop, et ce qui est tres important c'est de l'avoir le plus tot possible, comme ça on pourra etre plus ou moins à jour, je ne crois pas que l'avoir avant le cours fera la difference, mais le jour meme de la seance en le donnant à un representant ça c'est bien, dailleurs pas mal de nos enseignants le font maintenant. Parceque avant tout le polycop est la base meme si on prend des notes pendant le cours et on pourra y revenir une autre fois comme repere ou comme revision et aide pour un autre module ou cours.
Concernant la façon de presanter le cours, parfois un cours sur le tableau, c'est à dire en ecrivant juste les titres un par un, faire des schemas au fure et à mesure et parler sans support peut etre beaucoup plus mieux qu'un ppt avec plein d'animation et une lecture à la lettre. Franchement c'est tres difficil de trouver le bon moyen parce que certains reussissent et d'autre non..
Bon je vais faire un petit resumé, disant ce que je trouve comme ideal pour un cours: tout dabord utiliser le pc est plus pratique malgré que le materiel de la faculté gene parfois, mais bon, ça c'est un autre sujet. Avec le pc tout le monde peut voir, on peut mettre des videos, des images comme (ASP, echo, scan...) mais toujours un dessin tres schematique sur le tableau aidera à mieu comprendre. l'image ou utiliser la souris, le laser ou encore mieux des animations quoique cela prend du temps pour la preparation.
Je ne sais pas si j'ai reussi à vous aider en quelque chose meme si c'est minime, sinon la seule chose que je peux ajouter, c'est juste faire l'effort suffit pour reussir la transmission du message. |
|
|
|
yboualiy |
Publié le 15-04-2009 00:44
|
Nouveau MedeSpacien
Messages : 19
Inscription : 14.06.08
|
je pense que problème de l'enseignement en médecine et en particulier à Oran est multifactoriel. je peut citer quelques un:
1-les programmes
-il n ya pas des programmes détaillés par spécialité et par cours ( exemple : est ce que le cours donné à l'externe est le même que celui donné aux résidents? où sont les CPN des spécialités?
2- concernant l'enseignant:
- aucun enseignant n'a bénéficié , officiellement , d'une formation sur la pédagogie ( comment enseigne t - on? comment prépare t on un examen? quel est le délai entre l'examen et la remise des notes et son effet sur le rendement de l'étudiant?
- est ce qu'il est légitime qu'un un étudiant en post graduation pourra enseigner les étudiants en graduation?
quels sont les critères et les qualités requis pour que une personne puisse enseigner?
3-postes pédagogiques
est ce on peut imaginer qu'un amphi de 80 places est alloué à une promotion de 200 étudiants sous prétexte que plus de la moitié des étudiants n'assiste pas aux cours?
est ce que un seul service par specialité peut assurer l'enseignement pratique aux 600 étudiants en médecine chaque an?
4- est ce que les etudiants sont motivés? et est ce qu'ils sont conscients du problème de la formation ou leur souci unique est d'avoir l'année?
youcef |
|
|
|
M Benatta |
Publié le 16-04-2009 18:42
|
MedeSpacien formateur
Messages : 989
Inscription : 01.02.08
|
comment enseigne t - on?
comment prépare t on un examen?
quel est le délai entre l'examen et la remise des notes et son effet sur le rendement de l'étudiant?
est ce qu' un étudiant en post graduation peut enseigner les étudiants en graduation?
quels sont les critères et les qualités requis pour qu' une personne puisse enseigner?
questions pertinentes qui méritent d'etre traitées une par une,
on voudrait connaitre l'avis de nos étudiants. |
|
|
|
M Benatta |
Publié le 08-08-2009 16:07
|
MedeSpacien formateur
Messages : 989
Inscription : 01.02.08
|
voila une recommandation qui pourrait faire avancer les choses
former les enseignants en tant qu’éducateurs, et non pas simplement en tant que spécialistes du domaine traité, et récompenser l'excellence pédagogique aussi généreusement que l'excellence en recherche biomédicale ou en pratique clinique
-car savez vous que vos enseignants ne sont presque pas formés pour vous enseigner?
|
|
|
|
Dr benaouf |
Publié le 18-08-2009 18:13
|
MedeSpacien fidèle
Messages : 218
Inscription : 31.01.08
|
là aussi les acteurs de la vie universitaire : étudiants et enseignants sont invités à rebondir là dessus
la dernière proposition de Dr Benatta me semble intéressante : qu'en pensez-vous?
Pathologie et chirurgie buccale |
|
|
|
Razorblade |
Publié le 28-01-2010 20:09
|
MedeSpacien Actif
Messages : 173
Inscription : 17.01.09
|
La remarque du Dr Benatta, a fait que je suis beaucoup plus indulgente face aux profs qui ont du mal a s'exprimer en public ou faire passer une information. Des stages en pédagogie doivent incontestablement être intégrés à la formation spécialisée.
Sinon je n'arrive pas à retrouver la fois où Dr Benatta a posé la question sur le type d'examen. Bref je répondrais ici :
En fait je pense que l'une des meilleures évaluation, c'est quand le sujet est divisé en 3 parties:
1-Une partie QCM .
2-Un cas clinique(Voir 2).
3-Un majorité de la note au QROC : Questions à réponses courtes. Type : Définir, citez, classez, conduite à tenir, signes cliniques.
Aussi que l'examinateur ne perde pas le but principal d'un examen qui est d'évaluer si l'étudiant a retenu l'essentiel de la spécialité, car parfois certains sujets portent sur des détails qui s'éloignent de ce qui est nécessaire à un généraliste.
|
|
|
|
M Benatta |
Publié le 28-01-2010 21:36
|
MedeSpacien formateur
Messages : 989
Inscription : 01.02.08
|
l'évaluation des étudiants est toute une science qui s'appelle la DOCIMOLOGIE.
cette science ne tombe pas du ciel,elle doit etre enseigné aussi à ceux qui évaluent les étudiants. |
|
|
|
La Pharmacienne |
Publié le 28-01-2010 21:51
|
MedeSpacien rédacteur
Messages : 8494
Inscription : 26.10.08
|
Bonsoir,
Comment évaluer les enseignants Maitre ? |
|
|
|
M Benatta |
Publié le 28-01-2010 23:01
|
MedeSpacien formateur
Messages : 989
Inscription : 01.02.08
|
c'est tous le systeme d'enseignement qui doit etre évalué (expertisé)
l'enseignant n'est qu'un maillon de la chaine(ça n'exclue en rien la responsabilité individuelle de chacun)
nous devons tous simplement nous conformer aux normes internationales.
|
|
|
|
M Benatta |
Publié le 30-01-2010 14:25
|
MedeSpacien formateur
Messages : 989
Inscription : 01.02.08
|
En France ,il existe une Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES). |
|
|
|
La Pharmacienne |
Publié le 30-01-2010 14:27
|
MedeSpacien rédacteur
Messages : 8494
Inscription : 26.10.08
|
Et dans notre pays Maitre ? ça existe pas ? |
|
|
|
M Benatta |
Publié le 30-01-2010 14:49
|
MedeSpacien formateur
Messages : 989
Inscription : 01.02.08
|
pas pour le moment à ma connaissance.
il est pourtant grand temps. |
|
|
|
Administrateur |
Publié le 30-01-2010 22:02
|
Administrateur du portail
Messages : 2963
Inscription : 01.01.08
|
Benatta Mahmoud écrit :
l'évaluation des étudiants est toute une science qui s'appelle la DOCIMOLOGIE.
cette science ne tombe pas du ciel,elle doit etre enseigné aussi à ceux qui évaluent les étudiants.
Les méthodes d'évaluation évoluent surtout en médecine, dans certains pays, ils utilisent les portfolios pour évaluer les étudiants et les résidents.
Bien à vous.
Il ne faut pas être triste |
|
|
|
La Pharmacienne |
Publié le 30-01-2010 22:17
|
MedeSpacien rédacteur
Messages : 8494
Inscription : 26.10.08
|
Bonsoir,
C'est quoi "Le portfolios" Big Boss ? |
|
|
|
La Pharmacienne |
Publié le 09-07-2010 18:41
|
MedeSpacien rédacteur
Messages : 8494
Inscription : 26.10.08
|
Bonsoir,
Le Big Boss m'a répondu en postant un nouveau article, que vous pouvez consulter et je vous encourage, un article qui vaut vraiment le détour : ePortfolio en médecine cet arcticle a était aussi l'un des dossiers principaux de notre Magazine MedeSpace n°6
A vous. |
|
|
|
MedeSpacienne |
Publié le 28-08-2011 23:10
|
MedeSpacien Actif
Messages : 109
Inscription : 26.09.10
|
Bonjour à vous tous,
En ce jour j'ai lu cet article paru en ce jour au journal "Le Quotidien d'Oran" je voulais le partager avec vous :
L'université veut revoir sa copie
Par Houari Barti
L'évaluation de « la qualité des enseignements » dans le cycle supérieur devra, dès la rentrée universitaire de cette année, constituer le paramètre par excellence qui définira le degré de notoriété d'un établissement universitaire par rapport à un autre.
Le département de Rachid Harraoubia veut insuffler une nouvelle dynamique au sein des établissements universitaires, basée sur un esprit de concurrence et de compétition scientifiques. Ce sont les établissements les plus performants, ceux qui s'imposeront en se faisant un nom, qui réussiront à attirer le plus d'étudiants et d'entreprises économiques et à sélectionner les meilleurs diplômés pour leurs recherches. Voici les principaux enjeux de l'opération d'évaluation nationale des établissements universitaires qui sera lancée à partir de la rentrée universitaire 2010-2011. Dans un entretien accordé à l'APS, le directeur de la Formation supérieure en post-graduation au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Mustapha Haouchine, a expliqué que cette opération d'évaluation est composée de deux étapes. La première, interne, mettra à contribution les responsables des établissements universitaires, notamment enseignants et étudiants, appelés à évaluer leur niveau selon des normes et des critères bien définis, dans le but d'aller, a-t-il dit, vers « une meilleure qualité et un meilleur rendement ». Cette évaluation comprend notamment, a ajouté M. Haouchine, le taux de réussite, la moyenne des années que passe l'étudiant dans son établissement avant l'obtention de son diplôme et la qualité des stages réalisés durant son cursus universitaire. La deuxième évaluation est externe, de dimension nationale et est prise en charge par la commission nationale d'évaluation des enseignements et la commission nationale d'évaluation de recherche, devant commencer cette année leurs travaux, après leur création dans le cadre de la loi d'orientation du secteur en 2008. A propos du but de ce type d'évaluation, M. Haouchine a indiqué que son ministère essaye d'imposer et d'inculquer «la politique et la culture d'évaluation » au sein des établissements universitaires pour les obliger à mettre en évidence la qualité des enseignements et pousser l'étudiant à fournir plus d'effort dans ses études et ses recherches.
Cette opération permettra de créer une sorte de concurrence permettant à ces universités ou ces écoles supérieures, soit de se faire un nom et, par conséquent, attirer plus d'étudiants et d'entreprises économiques pour notamment des recherches et la sélection des meilleurs diplômés, ou rester juste un établissement géré par l'Etat, a précisé M. Haouchine.
Par ailleurs, ce dernier a souligné qu'il a été procédé, en 2009, à la création des classes préparatoires destinées aux meilleurs bacheliers, précisant que la première promotion rejoindra les bancs des écoles supérieures, au nombre de 16, après la réussite du concours national prévu en 2011. Il a ajouté que les universités ont, elles aussi, procédé à l'intégration de 30 filières d'«excellence » appelées « filières à recrutement national».
Sur un autre plan, le sous-directeur du développement et de la planification au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdelhakim Djebrani, a indiqué que la prochaine rentrée universitaire verra la réception de 237.000 nouveaux étudiants et enregistrera 186.000 diplômés. Le nombre de places pédagogiques a augmenté, a-t-il dit, pour atteindre 1.300.000 places, alors que le nombre de lits est de 560.000 répartis sur 368 cités universitaires. |
|
|