L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
- On peut dans des formes très comminutives utiliser la fixation par un fixateur externe. Celui-ci redonne la bonne longueur de l’extrémité inférieure du radius, mais il ne permet pas de retrouver une orientation anatomique. Il faut y adjoindre fréquemment des broches soit intra-focales, soit trans-fracturaires afin de repositionner correctement cette extrémité inférieure. Après ces embrochages, il faut vérifier l’absence de névrome et la liberté du tendon extenseur du pouce. Des mouchetures cutanées au bistouri sont préférables avant l’introduction des broches.
- Fracture sus-articulaire non déplacée ( Pouteau-Colles ) : traitement orthopédique : plâtre brachial-antibrachial-palmaire ( BABP ) trois semaines, puis manchette plâtrée les trois semaines suivantes.
- Fracture sus-articulaire déplacée ( Pouteau-Colles ) : réduction et embrochage type Castaing ou Kapandji. Immobilisation trois semaines par plâtre, puis immobilisation plâtrée 4 à 5 semaines sans prendre le coude (manchette). Lorsqu’il existe une atteinte de la radio-ulnaire distale (styloïde ulnaire) (fracture de Gérard-Marchand), l’immobilisation doit être faîte avec un plâtre brachio-antébrachial pour bloquer la prono-supination.
- Dans les fractures à déplacement antérieur, marginale antérieure ou Goyrand-Smith, une ostéosynthèse par plaque antérieure vissée ou plaque console est à l’heure actuelle la plus utilisée.
- Fracture articulaire : réduction, embrochage plutôt type Kapandji, immobilisation plus longue avec un plâtre brachio-antébrachial enlevé à 5e ou 6e semaine. La rééducation doit être progressive et douce afin de prévenir l’installation d’un syndrome algodystrophique.
- Fractures articulaires comminutives avec un haut degré d’ostéoporose, on peut utiliser un fixateur externe, mais l’utilisation de broches complémentaires est le plus souvent nécessaire pour obtenir une bonne orientation du massif épiphysaire, le fixateur ne participant qu’à redonner la longueur.
La rééducation est indiquée dès l’immobilisation au niveau des doigts. Les doigts devant être en position supérieure par rapport au coude pour éviter l’œdème. La rééducation est débutée à l’ablation du plâtre. Elle doit être douce, progressive. En principe, la mobilité est assez rapidement obtenue, mais la force n’est récupérée qu’au bout du 3e mois.
Bonsoir,
Epidémiologie des fractures de l’extrémité inférieure du radius
I. Phase de préliminaires : 1. Evaluer l’utilité de l’enquête : Le recensement des fractures de l’extrémité inférieure du radius (EIR) au PU de chirurgie durant le mois d’Octobre au niveau Du chu de Tizi Ouzou a un but double : d'une part, essayer d'avoir une vision épidémiologique des FEIR sur la région de Kabylie et, d'autre part, essayer d'évaluer par une série rétrospective, leur devenir .
2. Recherche documentaire :
Les informations nécessaires sont recueillies dans le registre des consultations pour l’année 2008 et dans les dossiers des malades.
II. Phase de préparation : 1. Objectifs
* Déterminer la fréquence des fractures de l’EIR au PU de chirurgie.
* Répartir la population d’étude selon l’âge et le sexe.
* Déterminer le type de fracture le plus fréquent.
* Préciser le type de traitement : orthopédique /chirurgical.
* Déterminer la durée d’hospitalisation après un traitement chirurgical.
* Identifier les principales complications survenues au cours du traitement.
2. Structure d’étude : PU de chirurgie du CHU de Tizi Ouzou
3. Population cible : sujets admis au PU de chirurgie de
CHU de Tizi-Ouzou durant le mois d’Octobre 2008.
4. Choix des variables :
- Age.
- Sexe.
- Cote atteit.
- Type de traitement : orthopédique /chirurgical
III. Phase de réalisation : 1. Collecte et contrôle des données : faits par le recueil des informations au niveau des dossiers des malades.
2. Exploitation des données :
- Codage : toutes les données ont été transformées en valeurs numériques et sont rapportées dans les tableaux figurant dans la partie rapport d’enquête.
Résumé :
Afin de décrire les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des fractures de l’EIR au niveau du CHU de Tizi Ouzou, nous avons mené une étude retropective du 01-10-2008 au 31-10-2008.
Les FEIR représentaient 15,05 % des admissions au PU de chirurgie. Les femmes de plus de 55 ans étaient les plus touchées 28,51%. Le traitement orthopédique était la modalité thérapeutique la plus usitée dans notre service. . Les facteurs de mauvais pronostic identifiés ont été: l’âge des patients et la pathologie associe.
Introduction :
- Les fractures de l'extrémité inférieure du radius (FEIR) sont des lésions fréquentes puisqu'elles représentent 15,05 % de toutes les lésions osseuses et la majorité des fractures de l'avant-bras .
-Les fractures de l’EIR surviennent chez des femmes et chez les hommes das des pourcentages presque identiques.
- Leurs traitements restent actuellement très controversés.
-Le devenir fonctionnel de ces lésions est très diversement apprécié dans la littérature ainsi que l'incidence réelle des complications, en particulier, l'algodystrophie.
-Afin de situer la place des fractures de l’EIR , il nous a paru intéressant de mener la présente étude dans notre service où les traumatismes du poignet demeurent un problème quotidien. ----Cette étude devrait contribuer à améliorer la prise en charge de cette affection qui peut compromettre définitivement le pronostic fonctionnel voire même le pronostic vital.
Matériels & Méthodes : Structure des groupes en fonction de caractéristiques de temps et de lieu :
Nous avons mené une étude retropective du 01-10-2008au 31-10-2008soit une période de 01 mois dans le service de PU de chirurgie du Centre Hospitalo-universitaire de Tizi Ouzou.
Critères de sélection des sujets :
Tous les sujets ayant consulte au PU de chirurgie pour FEIR pendant cette période ont été inclus dans l’étude.
Définitions et classifications utilisées :
Voir partie étude théorique : chapitre étude anatomopathologique.
Modalité de collecte et de contrôle des données :
Pour chaque sujet inclus dans l’étude, une fiche de collecte de données a été remplie. Elle a permis de recueillir les données civils, cliniques, para cliniques, thérapeutiques et évolutives, après consultation des dossiers.
Conclusion :
Les fractures de l’extrémité inférieure du radius sont très fréquentes ou elles représentaient 15,05 % des admissions au PU de chirurgie.
Elles sont l’apanage du sujet age surtout de sexe féminin 28,51% dues essentiellement a la ménopause.
Les patients bénéficiaient dans la plupart des cas d’un traitement orthopédique qui consiste en une réduction suivie d’un plâtre en BABP.