L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
Membres enregistrés : 5,082
Membre le plus récent : abderahmene
Moins d’hormones=moins de cancers du sein ?
Depuis 2002, les médecins prescrivent moins de substituts hormonaux aux femmes ménopausées et depuis, le nombre de cancers du sein a baissé. C’est ce que révèle une enquête à laquelle a notamment participé le sénateur et docteur Patrik Vankrunkelsven (Open Vld).
Les résultats de l’enquête se trouvent jeudi dans Het Belang van Limburg et la Gazet van Antwerpen. Depuis 1993, le « Limburgs Kanker Register » (LIKAR, registre limbourgeois des cancers) répertorie le nombre de cancers dans la province. Depuis 2005, un tel recensement est aussi organisé au niveau de l’ensemble du pays.
Les chiffres font apparaître que les cancers du sein étaient en augmentation d’année en année, essentiellement parmi les femmes de 50 à 70 ans, un groupe de la population qui consomme souvent des hormones.
Contrairement à cette tendance constatée depuis 1993, la situation s’est modifiée entre 2002 et 2005.
Pour Patrik Vankrunkelsven, l’explication se trouve dans le nouveau comportement des médecins en matière de prescriptions d’hormones aux femmes ménopausées. Jusqu’en 2001, on supposait que ces hormones étaient bonnes pour leur santé, non seulement pour lutter contre les « vapeurs » ou les problèmes d’humeur mais aussi pour le coeur et les vaisseaux. En 2002, une étude américaine a mis en évidence que les effets sur la santé des femmes étaient en fait négatifs. Depuis, les prescriptions d’hormones ont diminué et les cancers du sein ont baissé.