|
|
|
|
|
|
|
|
- mercredi 28. octobre 2015
Fibrillation auriculaire
- samedi 19. septembre 2015
L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
- samedi 15. août 2015
Consommation d\'aliments épicés et mortalité toutes causes et spécifiques: une étude de cohorte basée sur la population.
- mercredi 22. juillet 2015
Le tabagisme passif est associé à l\'inflammation vasculaire...
- dimanche 28. juin 2015
Antibiothérapie versus Appendicectomie en traitement d\'une appendicite aigüe non compliquée: l\'essai clinique randomisé APPAC
- mardi 9. juin 2015
Qualité de l\'air intérieur, ventilation et santé respiratoire chez les résidents âgés vivant en maison médicalisée en Europe.
- jeudi 23. avril 2015
Association entre sauna accidents cardiovasculaires fatals et mortalité toutes causes
- jeudi 12. mars 2015
Associations dose-réponse entre une activité cycliste et le risque d\'hypertension artérielle (HTA)
- lundi 2. mars 2015
Longévité et déterminants de l\'immunité humorale protectrice après infection grippale pandémique.
- dimanche 15. février 2015
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
|
|
|
|
|
|
Invités en ligne : 760
Membres en ligne : 0
Membres enregistrés : 5,082
Membre le plus récent : abderahmene
|
|
|
|
La dépression, facteur de risque à part entière de l'infarctus |
|
|
Chez une femme en apparente bonne santé, une dépression sévère peut être la cause d'un infarctus, selon les résultats d'une nouvelle étude américaine dont les résultats sont publiés dans le dernier numéro du Journal of the American College of Cardiology.
On savait depuis longtemps qu'une dépression est fréquente après un infarctus ou un accident vasculaire cérébral et qu'elle en aggrave les conséquences. Mais c'est la première étude à mettre en lumière la responsabilité à part entière de la dépression dans la survenue d'un infarctus.
Les scientifiques ont suivi 63 000 femmes appartenant à la vaste étude sur la santé des infirmières (Nurses» Health Study), entre 1992 et 2004. Aucune ne présentait de signe de maladie cardiaque lorsque l'étude a démarré, mais près de 8% présentaient des signes de dépression sévère.
À la surprise des responsables, le nombre d'infarctus était plus importat dans le groupe des femmes traitées par antidépresseurs que dans le groupe des femmes déprimées, mais non traitées. Un phénomène que le Dr William Whang, responsable de la recherche, explique par la plus grande sévérité des dépressions traitées par antidépresseurs. Il estime toutefois que ces découvertes méritent une recherche supplémentaire.
Toutefois, les études menées sur les derniers antidépresseurs, les plus utilisés aujourd'hui, n'ont pas révélé de risque supplémentaire de trouble du rythme cardiaque. Certains d'entre eux assuraient même une meilleure protection cardiaque, selon le Dr Redford Williams, de la Duke University, un spécialiste du retentissement sur la santé des facteurs psychosociaux.
Mise à part la question du traitement, le Dr Williams observe que la nouvelle étude ne fait que renforcer l'hypothèse selon laquelle la dépression représente un facteur de risque indépendant de maladie cardiovasculaire, en plus des risques classiques que sont l'hypertension artérielle, le diabète, trop de cholestérol ou encore le tabac.
Pour Redford Williams, il est temps de passer à l'étape suivante: une étude qui évaluerait l'influence du traitement de la dépression sur la réduction du risque.
Pourquoi la dépression aurait-elle cet effet? L'étude souligne que plus les symptômes décrits par les femmes sont sévères, plus le risque de facteurs de maladie cardiovasculaire traditionnels est important. De plus, la dépression a été liée à des manifestations physiques telles qu'une accélération du rythme cardiaque.
Autre raison: la dépression peut amener les patients à se négliger. L'Association américaine du coeur (AHA) a ainsi recommandé l'an dernier que toute personne atteinte de maladie cardiaque soit régulièrement dépistée pour dépression, les patients déprimés pouvant abandonner leur traitement, ne plus faire d'exercice et se sous-alimenter.
Source: cyperpresse
|
|
|
|
|
|
|
|
Aucun Commentaire n'a été publié.
|
|
|
Connectez-vous pour publier un Commentaire.
|
|
|
L'évalutation n'est disponible que pour les membres.
Connectez-vous ou enregistrez-vous pour voter.
Aucune évaluation publiée.
|
|
|
| |