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L'opacité préoccupante du marché des lunettes
Revue scientifique
Les ophtalmologistes constatent de plus en plus souvent que la qualité des verres laisse parfois à désirer.

En France, en matière d'optique et sans mauvais jeu de mot, le principal problème est le manque de transparence, que ce soit en matière de prix ou de traçabilité des verres. Les ophtalmologistes redoutent, à l'image de ce qui se passe déjà en Allemagne et en Angleterre, que les prescriptions de verres correcteurs ne soient plus de leur seul ressort. «L'assurance-maladie estime qu'une grande partie de notre activité peut être transférée aux opticiens», note l'un d'entre eux.

Aujourd'hui, cette profession réalise 30 millions d'actes annuels dont 7 millions pour des baisses d'acuité visuelle. Pour seulement 2,5 millions d'entre eux, un simple changement de verres aurait suffi. Et comme il existe des opticiens peu scrupuleux qui n'hésitent pas à en­freindre la loi en vendant des lunettes sans ordonnance, certains pa­tients estiment pouvoir éviter la visite chez le médecin pour obtenir une paire de lunettes. Sans penser qu'ils passent peut-être à côté d'une pathologie de l'œil.

Les ophtalmologistes reprochent également à certains opticiens de vendre des verres qui ne correspondent pas à la qualité avancée, qu'il s'agisse de contrefaçons ou de verres de mauvaise qualité. Ces pratiques ne sont pas sans conséquences, elles peuvent provoquer des maux de tête, des vertiges ou un inconfort visuel. «Avant, nous faisions confiance aux opticiens, mais c'est de moins en moins vrai. La situation se dégrade», confie Jean-Bernard Rottier, le président du Syndicat des ophtalmologistes. «Parfois on n'arrive pas à mesurer la puissance de certains verres. Dans ces cas-là, on comprend vite que leur origine est douteuse.»

Quand un client se rend chez un opticien avec son ordonnance pour se faire faire des lunettes, il doit ressortir du magasin avec un devis détaillé - tout comme il devra d'ailleurs avoir une facture dé­taillée -, ce qui est rarement le cas. La Direction régionale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) exige que ce devis comporte des renseignements concernant le nom du distributeur des verres, le modèle ainsi que les références commerciales, les options (antireflet par exemple) que ce soit pour l'offre de base, c'est-à-dire la moins chère, comme pour l'offre dite «personnalisée».

Vente en ligne interdite

Ce devis détaillé permet au patient de savoir ce qu'il porte, et à son ophtalmologiste de vérifier sa prescription. Jean-Bernard Rottier s'est ainsi équipé de machines dont le prix avoisine les 600 € «pour vérifier que les verres réalisés sont bien ceux que j'ai prescrits et qu'il s'agit de verres de marque». Selon lui, les ophtalmos sont obligés de faire da­vantage de vérifications quand leurs patients viennent avec des maux de tête. Il y a peu, il a contrôlé des verres vendus comme provenant d'Essilor, le leader mondial. Mais comme le nom de la gravure ne correspondait pas à celle d'un verre Essilor, il a eu un doute. L'opticien lui a avoué qu'il s'agissait de verres BBGR, certes filiale d'Essilor, mais pas réalisés par la maison mère.

«Le marché n'est pas clair, reconnaît Xavier Subirana, du Syndicat des ophtalmologistes. On ne sait pas a posterioriquel est le niveau de qualité des verres.» La majorité des praticiens n'achètent pas de ces équipements et avouent être «totalement démunis» pour vérifier les verres. «Si nous sommes convaincus que la puissance a été respectée, nous de­mandons à l'opticien de vérifier son travail, confie une ophtalmo parisienne. Comme il est assuré, il refait faire les verres. Soit il en avait mis un de marque d'un côté et un de moindre qualité de l'autre, soit les deux étaient de piètre qualité.»

Autre exemple de l'opacité du système : l'opticien-lunetier doit être identifié par le port d'un badge signalant son titre professionnel (décret d'avril 2007 du ministère de la Santé). Le client sait ainsi qu'il a affaire à un diplômé d'un BTS (donc bac + 2) d'optique et pas simplement à un vendeur. Or, rares sont les opticiens qui portent un badge. Le flou est total.

Par ailleurs, au grand dam des ophtalmos, ni l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, ni la DGCCRF, ni le ministère de la Santé semblent s'intéresser au problème. En 2006, la DGCCRF a mené une enquête «afin de déceler des pratiques frauduleuses chez certains opticiens». Mais l'opération n'a pas été renouvelée.

Du côté des opticiens, on affiche une volonté «d'épurer le système», selon l'expression de Christian Roméas, le président du Syndicat des opticiens sous enseigne (Synope). Le syndicat porte d'ailleurs régulièrement plainte contre des opticiens ou des enseignes indélicats (notamment pour publicité mensongère) mais il est débouté presque à chaque fois par le tribunal qui se déclare incompétent, regrette Christian Roméas.

Le Synope a également porté plainte contre trois sites qui proposent de vendre en ligne des lunettes correctrices, ce qui est interdit. Le président du Syndicat des ophtalmos va saisir le Conseil de l'ordre pour que les praticiens puissent orienter leurs patients vers des opticiens qui respectent, selon eux, «les règles de bonne conduite». Jusqu'à présent, c'est interdit par le code de déontologie.

lefigaro
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