L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Mise au point d’un test sur les risques de cancer du poumon
Des chercheurs néo-zélandais ont annoncé avoir mis au point le premier test mondial, permettant de mesurer le risque de développer un cancer du poumon chez les fumeurs ou les anciens fumeurs.
Ce test repose sur des analyses ADN et l’identification des facteurs de risque tels que l’âge, les maladies respiratoires ou encore les antécédents familiaux, a indiqué le professeur Robert Young de l’université d’Auckland.
« Tous les fumeurs sont exposés à un risque aggravé d’avoir un cancer du poumon, parmi toute une série d’autres maladies graves, mais pour certaines personnes le risque est bien plus élevé que pour d’autres », a-t-il déclaré.
Le cancer du poumon est le cancer le plus mortel, tuant la moitié des patients atteints au cours de la première année suivant le diagnostic et 80 % d’entre eux dans les deux ans.
Le risque diminue fortement en cas d’arrêt de la cigarette et le taux de survie est largement supérieur lorsque la maladie est précocement diagnostiquée.
Selon le professeur Young, ces travaux ont montré que de nombreux fumeurs étaient souvent optimistes, persuadés que la maladie les épargnera. Ce test pourrait permettre d’inverser cette tendance.
Il classe les fumeurs en plusieurs catégories de risques de développer un cancer, allant de modéré, à élevé et très élevé.
Baptisé Respiragene, ce test qui nécessite un simple prélèvement buccal d’ADN a été mis au point par Synergenz Bioscience, qui travaille en lien avec l’université d’Auckland. Il devrait être disponible en Nouvelle-Zélande et dans le monde dans l’année.