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Première naissance en France grâce à une «autogreffe» |
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La mère, âgée de 23 ans, était devenue stérile après une chimiothérapie. Elle a pu se faire greffer un ovaire, prélevé sur elle trois ans auparavant. Une véritable prouesse médicale qui ouvre de nouvelles perspectives.
Une naissance qui «offre espoir aux patientes de préserver leur fertilité et d'avoir des enfants», estime le professeur Christophe Roux. Ysaline, 3,7 kg à la naissance, est en effet le fruit d'une véritable prouesse médicale des CHU de Besançon et de Limoges, qui ont pratiqué une autogreffe de tissu ovarien sur une femme devenue stérile après une chimiothérapie intensive. Une première médicale en France, et une septième naissance de ce genre à travers le monde, la Belgique ayant ouvert la voie à cette pratique en 2004.
Rachel Barbier revient pourtant de loin. Atteinte d'une maladie du sang -une forme de drépanocytose- depuis l'enfance, elle doit subir en 2005 une chimiothérapie intensive en vue d'une greffe de moelle osseuse. Un traitement lourd qui rend de nombreuses femmes stériles. «Quant j'ai su cela, j'ai d'abord refusé la chimiothérapie et puis on m'a dit qu'il existait cette technique nouvelle», explique la jeune mère dans le quotidien Le Parisien .
Elle accepte donc de se faire prélever un ovaire avant le début de son traitement. La partie externe de cet ovaire est conditionnée, congelée et cryoconservée à moins 196 degrés dans de l'azote liquide par l'équipe du CHU de Besançon, supervisée par le professeur Christophe Roux.
«Six mois après la greffe, j'étais déjà enceinte»
Une fois guérie de sa maladie, Rachel, devenue stérile, songe à la maternité avec son époux, Yann. Elle décide de se faire greffer en avril 2008 l'ovaire congelé trois ans. Le professeur Pascal Piver, du CHU de Limoges, pratique l'opération. Quelques mois plus tard, la bonne nouvelle tombe : elle est enceinte. «On estimait à six mois la reprise de l'activité de mon ovaire. Sauf que six mois après la greffe, j'étais déjà enceinte et de façon naturelle alors qu'une fécondation in vitro était prévue à l'origine», raconte la jeune femme.
Si dans un premier temps cette technique présente un intérêt majeur pour les femmes devant subir un traitement stérilisant -comme une chimiothérapie-, la méthode pourrait un jour s'ouvrir à plus de femmes, estiment les spécialistes. Le Pr François Olivennes, gynécologue-obstétricien spécialisé dans les traitements de l'infertilité, pense déjà pour sa part à deux applications possibles dans le futur. La première, «la préservation de la fertilité de la femme qui voudrait stocker son capital folliculaire pour une grossesse tardive», explique-t-il au Parisien. La seconde, pour repousser la ménopause : «Une femme ferait congeler un ovaire, qu'on lui grefferait avant l'apparition des premiers signes de la ménopause, prolongeant ainsi son activité génitrice !».
lefigaro
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