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Une technique pour ôter à l'ovule des gènes porteurs de maladie
Recherches médicales
La manipulation a été réalisée avec succès chez des macaques. Son application à l'homme - si cela devenait possible - poserait des questions éthiques.

Pourra-t-on un jour tuer dans l'œuf certaines maladies héréditaires transmises par les femmes ? C'est ce que suggèrent les travaux originaux de chercheurs américains chez des macaques, publiés mercredi en ligne dans la revue Nature.

Si la plupart des affections génétiques sont dues à des mutations de gènes situés dans le noyau, un certain nombre proviennent de défauts génétiques dans d'autres constituants cellulaires, les mitochondries.

Ces petites molécules d'ADN, usines à énergie de la cellule, ont la particularité d'être transmises uniquement par la mère. Dans le monde, un nouveau-né sur 4 000 est atteint par une maladie génétique d'origine mitochondriale, soit 200 nouveaux cas par an en France. Pour les familles concernées par des formes sévères, les médecins peuvent proposer au cas par cas un diagnostic prénatal voire préimplantatoire.

Jusqu'ici, ces pathologies, dont la présentation clinique et la gravité sont très variables, n'ont d'autres traitements que symptomatiques. L'approche de Masahito Tachibana (Institut de recherche sur les primates de l'Oregon) vise carrément à éviter leur transmission, en réglant le problème avant la fécondation.

La technique consiste à transférer le noyau de l'ovule maternel (mais pas ses mitochondries) dans l'ovule d'une donneuse dont on a au contraire ôté le noyau en lui laissant ses mitochondries. L'ovule hybride ainsi obtenu est ensuite fécondé normalement par un spermatozoïde.

Testée sur des macaques, cette méthode a donné naissance à quatre singes en bonne santé. Et les analyses génétiques ont été totalement rassurantes : les animaux ont bien l'ADN nucléaire de leur mère et l'ADN mitochondrial de la donneuse d'ovule. «Aucun ADN mitochondrial maternel n'a été détecté dans la descendance» insistent les chercheurs. En clair, il semble possible d'éliminer l'ADN mitochondrial défectueux tout en gardant le patrimoine génétique maternel.

Une prouesse technique

Pour les spécialistes français, ces travaux constituent une prouesse technique, qui à terme ouvre des perspectives chez les malades. Les précédentes tentatives, avec des méthodes plus ou moins proches, n'avaient pas eu de résultats aussi probants, note Anne Lombès, (Inserm-hôpital de La Salpétrière, Paris). Selon cette chercheuse, l'astuce de l'équipe américaine est d'avoir choisi «le bon moment» dans le développement de l'ovule, pour faire le transfert du noyau.

«Si ça marche, c'est un espoir formidable pour nos patients qui pour certains sont dans des situations dramatiques», estime le Pr Didier Lacombe, chef du service de génétique médicale (CHU de Bordeaux). «On est encore loin des applications humaines, précise cependant Agnès Rötig, (Inserm-hôpital Necker, Paris). En effet, pour l'instant, il n'y a pas encore de modèle animal satisfaisant pour tester ce genre d'approche.»

Quid des questions éthiques d'une telle manipulation des gamètes humains ? Sur ce plan, les chercheurs sont plutôt rassurants. «Certes, cela induit une modification de l'individu, mais elle est très minime, estime Anne Lombès. L'ADN mitochondrial ne contient que treize gènes de structure, qui agissent sur la synthèse énergétique.» Il n'est toutefois pas certain, selon Agnès Rötig, qu'une manipulation de l'ADN mitochondriale soit totalement anodine. «Il y a un contrôle du noyau sur les mitochondries, mais on commence à connaître des régulations inverses», note-t-elle.


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