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Un virus pourrait être associé à un quart des cancers de la prostate |
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WASHINGTON, 8 septembre 2009 (APM) - Un virus de la famille des rétrovirus est présent dans un quart des cancers de la prostate et pourrait jouer un rôle dans leur formation, suggère une étude américaine.
Le virus, nommé XMRV (xenotropic murine leukemia virus-related virus), est un gammarétrovirus. Aucun virus de ce type n'avait encore été identifié chez l'homme, mais certains sont connus pour donner des leucémies et des sarcomes dans plusieurs espèces animales: rongeurs, félins ainsi que des primates, indiquent Robert Schlaberg de l'université Columbia à New York et ses collègues.
Une première étude recherchant des virus possiblement associés au cancer de la prostate avait identifié le XMRV mais à l'époque, seuls des cas de cancer avaient été étudiés. Pour établir un lien plus précis, il était nécessaire de faire une comparaison avec des tissus prostatiques sains de personnes n'ayant pas de cancer. C'est ce qu'ont fait les chercheurs.
Ils ont comparé 233 cas de cancer de la prostate et 101 contrôles. Une protéine du XMRV était présente chez 23% des cancers de la prostate, contre 4% des contrôles.
L'ADN du virus était détecté chez seulement 6% des cancers (2% des contrôles) mais cela peut s'expliquer par le fait que la sensibilité du test pourrait être insuffisante si la quantité de virus est très faible dans les échantillons de prostate étudiés, estiment les chercheurs.
Le virus était associé aux cancers de plus haut grade: il était présent dans 18% des cancers de score Gleason 6, 27% des Gleason 7, 29% des Gleason 8 et la proportion montait à 44% pour les Gleason 9.
Contrairement à la précédente étude qui avait fait un lien entre la présence du virus et un polymorphisme génétique, la nouvelle étude ne retrouve pas ce lien, suggérant que "tous les individus [et pas seulement un sous-groupe génétiquement caractérisé, ndlr] pourraient être à risque", selon les chercheurs.
Des travaux sont encore nécessaires pour confirmer le rôle oncogène du virus. Mais les chercheurs estiment avoir fait un pas important. Si son rôle est confirmé, cela ouvrirait la possibilité de développer des tests de diagnostic, un vaccin et des traitements, commentent-ils, évoquant la possibilité d'utiliser des médicaments antirétroviraux.
Ils évoquent aussi d'autres questions, comme la possibilité que ce virus soit associé à d'autres cancers et l'élucidation de son mode de transmission.
Certains virus sont clairement connus pour causer des cancers, comme le papillomavirus ou le virus Epstein-Barr, mais d'autres cas comme des implications de virus dans le cancer du sein ont été suggérés par des études mais ne sont pas encore pleinement établis, note-t-on.
(PNAS, édition en ligne du 8 septembre)
fb/ab/APM
redaction@apmnews.com
FBMI7001 08/09/2009 00:01 CANCER IP
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