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Initiation à l’utilisation des défibrillateurs cardiaques |
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Alors que ce type d’équipement commence à se banaliser, un arrêté ministériel du 6 novembre 2009 met en place et définit le contenu d’une formation à l’utilisation des défibrillateurs automatisés externes par des personnes non médecins.
Le décret du 4 mai 2007 relatif à l’utilisation des défibrillateurs automatisés externes par des personnes non médecins précise que « toute personne, même non médecin, est habilitée à utiliser un défibrillateur automatisé externe » répondant à des caractéristiques fixées par les pouvoirs publics. Présents depuis longtemps dans les pays anglo-saxons, les défibrillateurs automatisés externes (appelés familièrement « défibrillateurs cardiaques ») commencent à se banaliser en France, dans les espaces publics (gares, centres commerciaux, aéroports, équipements sportifs…) et dans les entreprises. Même si ces appareils sont d’usage assez simple et bénéficient d’une assistance visuelle (dessins explicatifs) et vocale (messages enregistrés décrivant les différentes étapes de l’utilisation), la question se pose de l’initiation des utilisateurs potentiels.
Pas de problème du côté des personnes formées récemment au secourisme. L’utilisation du défibrillateur est en effet abordée dans le cadre de la formation aux premiers secours du grand public (PSC1). Elle figure aussi au programme de la formation de base des secouristes qualifiés (PSE1) – qui permet de devenir secouriste associatif, pompier ou nageur-sauveteur – et, bien sûr, à celui de la formation de secourisme des personnels médicaux (AFGSU).
Mais, avec la diffusion de plus en plus large des défibrillateurs dans les espaces publics ou sur les lieux de travail, se pose désormais la question de leur utilisation potentielle par toute personne confrontée à un accident cardiaque. Pour répondre à cette question – hors brevet de secourisme -, un arrêté ministériel du 6 novembre 2009 précise les modalités d’initiation du grand public à l’utilisation des défibrillateurs.
Il s’agit en l’occurrence d’une initiation sur une base volontaire, assurée sur une durée maximale d’une heure et par groupes de dix à douze personnes, « afin que chacune d’elles puisse pratiquer, elle-même, les gestes adaptés en situation de simulation ». Elle peut être réalisée par différents intervenants : les formateurs en premiers secours des associations agréées ou des organismes habilités à l’enseignement du secourisme, les enseignants des centres d’enseignement des soins d’urgence et les professionnels de santé dont l’éducation et la prévention font partie de leur domaine de compétences.
L’arrêté ministériel précise également le contenu des connaissances à acquérir : bref rappel des mécanismes de l’arrêt cardiaque, reconnaissance d’un arrêt cardiaque et conduite à tenir dans un tel cas (appeler les secours, masser, défibriller), avec une démonstration pratique. Cette initiation ne donne lieu à aucune délivrance de diplôme ou d’attestation.
Désormais dotées d’un cadre précis, ces séances d’initiation devraient commencer à se mettre en place dans les prochains mois.
Texte édité par hôpital.fr
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