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Le sida continue à tuer. Malgré… |
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Malgré des succès objectifs obtenus par la prévention et par l'augmentation des traitements, l'infection ne recule pas. La crise financière jette un doute sur l'aide sanitaire : un malade sur trois seulement est traité correctement. Le virus ne recule pas en Belgique.haque fois que nous commençons à soigner deux personnes, cinq autres sont infectées. » Dans la bouche de Michel Sidibé, directeur exécutif de l'Onusida, c'est toute l'ambiguïté des chiffres donnés ce mardi par l'agence Onusida, qui jauge l'ampleur de la pandémie et de la réponse qui y est apportée.
Certes, les polythérapies fonctionnent et ont permis de transformer le sida de maladie mortelle à très court terme en maladie dont le profil devient davantage chronique. Selon les statistiques de l'Onusida et de l'OMS, près de 3 millions de vies ont été sauvées depuis qu'un traitement efficace est devenu disponible en 1996.
Mais ces thérapies, coûteuses, restent lourdes à subir et leur accès reste très incomplet. Act-Up dénonce le fait que, contrairement à ce qui avait été promis en 2005, on est loin de l'accès universel : moins de 30 % des séropositifs dans le monde ont accès à un traitement antirétroviral.
Certes, les nouvelles infections ont baissé de 17 % en 8 ans, surtout grâce à la prévention, selon Onusida. Mais cela signifie néanmoins que près de trois millions de Terriens sont nouvellement infectés chaque année, alors même que les modes de transmission sont connus et quasi tous évitables. Certes, le nombre de décès a (légèrement) diminué, suivant une évolution constante depuis 4 ans. Mais cela signifie aussi que deux millions de personnes sont mortes de la maladie, dont la plupart faute de traitement adapté.
Difficile à accepter, car le sida n'est pas une fatalité : en 2001, moins de 5 % de séropositifs bénéficiaient de traitements et 10.000 personnes mouraient chaque jour du sida. Un chiffre qui est descendu à 6.000 personnes en 2008 quand 27 % des personnes vivant avec le VIH ont eu accès à un traitement. Mais cette évolution, qui semble a priori aller dans le bon sens, cache mal un actuel statu quo dans l'investissement sanitaire contre le sida, voire même une chute notable, accélérée (mais pas provoquée initialement) par la crise financière. Dramatique, au moment où l'on engrange de francs succès : ainsi, la thérapie a eu un « impact considérable sur la prévention des nouvelles infections chez les enfants » en empêchant environ 200.000 infections de la mère à l'enfant depuis 2001. En donnant des antirétroviraux à la femme enceinte séropositive et en pratiquant une césarienne systématique, on arrive à effacer quasi totalement la transmission du virus au bébé.
Cependant, les modes de transmission de la maladie évoluent dans certaines régions du monde sans que les campagnes de prévention ne s'adaptent, déplore l'Onusida qui relève que peu de campagnes s'adressent aux personnes de plus de 25 ans, aux couples mariés ou stables.
Hausse chez les homosexuels
Dans certaines parties de l'Asie, l'épidémie, autrefois alimentée par une transmission du virus par le biais du commerce du sexe et de la consommation de drogues injectables, affecte de plus en plus les couples hétérosexuels. Mais en Belgique, c'est le contraire : un rapport de l'Institut de santé publique montre que les infections par contacts hétérosexuels ont vu leur proportion diminuer, passant de 67 % des infections en 2002 à 48 %.
A l'opposé, le nombre d'infections diagnostiquées chez les homosexuels masculins constitue 46 % des infections pour 23 % en 2002. En 2008, un total de 1.079 nouveaux diagnostics d'infection par le VIH ont été rapportés en Belgique, soit le nombre le plus élevé enregistré depuis le début de l'épidémie, ce qui montre clairement que la prévention n'atteint pas son objectif. Et 128 cas de sida ont été dépistés l'an dernier.
lesoir
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