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La colle gluante d’une bactérie est la clé du vaccin, indiquent les scientifiques |
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| La colle gluante secrétée par la bactérie Staphylococcus aureus constituerait la clé que les scientifiques cherchaient afin de préparer un vaccin efficace contre le SARM ; voilà ce qui fut annoncé aux chercheurs médicaux au cours de la réunion d’automne de la Society for Général Microbiology, tenue au Trinity College à Dublin.
Près d’un tiers de la population mondiale et plusieurs animaux portent en eux le Staphylococcus aureus, qui vit simplement sur nous entant que biofilm pratiquement inoffensif. Occasionnellement, il pourrait causer l’apparition de petites taches sur la peau, d’abcès et d’infections du tissu mou et certaines personnes peuvent être infectées de manière continue, ce qui aide à protéger les bactéries contre les antibiotiques.
« Lorsqu’un individu s’infecte à maintes reprises, même après avoir été guérit par les antibiotiques, cela indique que son corps n’est pas immunisé contre la bactérie Staph, » signala le professeur Gerald Pier, de Harvard Medical School à Boston, aux EU.
La bactérie Staph a tendance à croitre dans des communautés cellulaires, particulièrement sur les appareils médicaux généralement utilisés sur les patients, produisant ce que l’on appelle des infections de type biofilm. Les appareils vont de simples cathéters placés dans les vaisseaux sanguins à ceux utilisés pour le passage du sang aux valvules cardiaques, genoux et hanches artificiels des patients sous dialyse. Tous les patients portant ces types d’appareils font face à un risque accru d’infections par Staph. Le fait de vivre dans des biofilms protège les bactéries des antibiotiques, rendant le traitement plus difficile.
« Afin de croitre sous forme de biofilm, la bactérie doit produire des facteurs collants, dont l’un est un type de sucre complexe appelé PNAG. Nous ciblons cette matière comme vaccin potentiel, mais l’exposition naturelle au composé de glucose n’aboutit pas chez la plupart des personnes et des animaux à générer une réaction immunitaire qui les protègerait d’une attaque bactérienne ou d’infections récurrentes, » expliqua le professeur Pier.
En manipulant le glucose chimiquement, les scientifiques ont découvert qu’ils peuvent produire des variantes pouvant être utilisées comme vaccins en provoquant le type correspondant de réaction immunitaire, une approche s’étant révélée réussie dans le cadre d’études d’animaux.
« Nous possédons aujourd’hui un moyen d’incliner la balance de la résistance aux infections en faveur des êtres humains par le biais de la vaccination, » indiqua le professeur Pier. « Il est probable qu’une ou plusieurs formes du vaccin seront prêtes à être testées sur l’être humain afin de vérifier quelle forme produira le meilleur anticorps. »
En outre, les chercheurs créèrent un anticorps possédant les propriétés nécessaires et pouvant être donné aux personnes encourant le risque élevé d’être atteints d’infection par Staph, prévenant ainsi l’infection. « Cet anticorps est en cours de production afin de débuter les tests humains dans 12 à 18 mois, » annonça le professeur Pier. « Un traitement efficace par anticorps contre les infections par Staph bénéficierait grandement à quiconque est hospitalisé ou travaille dans la communauté et encoure le risque d’infections par Staph. »
Source: Society for General Microbiology
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