L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
Membres enregistrés : 5,082
Membre le plus récent : abderahmene
La «chaude-pisse» de retour en France
Des dizaines de milliers de jeunes seront touchés en 2010: le préservatif n'est décidément plus à la mode. Lire la suite l'article
Dépêche estivale et urgente datée du 19 août en provenance de l'Institut national de veille sanitaire (InVS): les «infections à gonocoques» ne cessent de progresser en France. «Infections à gonocoques»? Parlons clair: il s'agit ici de «blennorragies», de «gonorrhées» ou -pour parler plus familièrement encore- de la célèbre «chaude-pisse» tenue pour une maladie quasi-professionnelle du temps du service militaire obligatoire. On peut le dire autrement: une infection des organes génito-urinaires due à un gonocoque, bactérie bien connu des services hospitaliers sous le nom de Neisseria gonorrhoeae. Dans tous les cas, une infection transmise via toutes les pratiques mettant en contact -de différentes manières- des muqueuses sexuelles avec d'autres (y compris la sodomie et la fellation).
Extraits de la dépêche de l'InVS:
«Selon les résultats fournis à l'Institut de veille sanitaire par deux réseaux spécialisés dans la surveillance de ces infections, l'augmentation de ces infections s'est poursuivie entre 2008 et 2009 (+52%). Cette progression a été observée sur l'ensemble du territoire. Elle est légèrement moins importante en Ile-de-France (+38%) où on constate une augmentation chez les hommes (+44%) et une relative stabilité chez les femmes (-5%). Dans les autres régions en revanche, l'augmentation du nombre de cas (+54%) se vérifie à la fois chez les hommes (+51%) et chez les femmes (+75%).»
Affaire importante semble-t-il au vu des pourcentages annoncés. Mais encore? «Ces infections ne font pas l'objet d'une déclaration obligatoire. Et compte tenu de nos méthodes de recueil des données statistiques il nous est aujourd'hui encore bien difficile de donner des chiffres correspondant à des valeurs absolues, nous a expliqué le Dr Anne Gallay, coordinatrice du groupe "infections sexuellement transmissible" à l'InVS.