L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
Membres enregistrés : 5,082
Membre le plus récent : abderahmene
Former un médecin dentiste européen
Une profonde réforme de l’enseignement est engagée à la faculté Paris Descartes avec une première promotion de diplômés attendue en 2014. À ceux qui craignent que ces futurs jeunes professionnels n'apprennent plus « le coup de main », le doyen Gérard Lévy explique que « contrairement aux représentations évoquées par l’opinion (…) les capacités des praticiens en médecines dentaires sont identiques à celles des autres professionnels de santé. Bien évidemment, les médecins dentistes exécutent la majorité des traitements qu’ils prescrivent. Mais l’explosion des connaissances et le développement des traitements de haute technicité limitent de plus en plus leurs capacités d’intervention. Le raisonnement clinique est le moyen de guider la gestuelle et surtout les choix et les décisions qui l’ont gouvernée.
Les praticiens les plus capables de bonne pratique sont en général compétents parce qu’ils connaissent leurs limites. C’est l’application du postulat du grand médecin qu’était Rabelais : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Si compétent signifie être capable de faire un soin, on est tenté de dire qu’on peut « faire » des chirurgiens-dentistes agiles de leurs mains en trois ans !
La réforme va bien au-delà. Elle insuffle une culture de suivi des patients. Il faut bien comprendre que le médecin dentiste n’est plus du tout le chirurgien-dentiste d’antan. La formation vient de passer du stade des écoles odonto-professionnelles à l’université et c’est heureux. »