L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
États-Unis - D'après une nouvelle étude publiée cette semaine dans le Journal of The American Medical Association, l'utilisation de l'anticoagulant clopidogrel pourrait accroître gravement le risque d'effets secondaires chez les individus souffrant de maladies vasculaires, ou portant certaines variations génétiques spéciales.
D'après les chercheurs à l'origine de cette étude, l'anticoagulant pourrait accroître le risque d'un accident cardiovasculaire fatal chez les individus subissant une opération cardiaque ou chez ceux porteurs des variantes fréquentes d'un certain gène. Ainsi, l'AFP explique que si le clopidogrel est utilisé lors de la pose d'un "stent" au niveau du cœur, un caillot peut alors se former.
Concernant les porteurs de variantes du gène CYP2C19, les chercheurs expliquent : "Comparativement aux patients dépourvus de ces variantes génétiques, ceux qui en sont porteurs ont eu un risque nettement plus grand de mortalité par infarctus ou consécutive à une attaque cérébrale". L'étude en question s'est appuyée sur les données de 9.685 patients pour parvenir à cette conclusion. Et les chercheurs de préconiser : "Étant donné que l'usage de cet antiplaquettaire est très répandu pour traiter les malades souffrant d'affections cardiovasculaires, déterminer les doses optimales pour les individus, en fonction de leur profil génétique, est nécessaire".