L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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La première opinion médicale peut influencer la seconde opinion
Une nouvelle étude de l'Université Ben Gurion montre que les médecins qui donnent un second avis sont influencés par des facteurs externes. M. Geva Waschitz, le Dr Nadav Davidovich, Yosef Pliskin et d'autres chercheurs à L'hôpital Universitaire Soroka de Beer Sheva recommandent que les patients demandent un second avis quand ils hésitent à suivre les recommandations de leur médecin.
Le but de cette étude était de déterminer si les médecins qui donnent un second avis sont influencés par la première opinion. Les chercheurs ont présenté un cas hypothétique à un échantillon national d'orthopédistes. Certains de ceux interrogés ont dit que les patients avaient déjà reçu des diagnostics et des recommandations, mais ne leur ont pas dit ceux qu'ils étaient. D'autres ont confirmé le premier avis, les autres ont été informé après que les médecins aient donné leur deuxième avis que le patient était intéressé par un avis supplémentaire.
Lorsque les orthopédistes savaient que le premier médecin a recommandé une intervention chirurgicale, ils étaient plus susceptibles de recommander eux aussi une opération, et quand ils ont entendu que le patient était à la recherche d'un autre avis, les orthopédistes étaient beaucoup plus susceptibles de recommander un traitement conservateur comme la kinésithérapie.
Des consultations personnelles avec 35 neurologues et orthopédistes ont montrées que les spécialistes avaient généralement une opinion positive des deuxièmes avis donné par leurs confrères. En effet, les médecins interrogés encourageaient même les patients à solliciter leurs confrères. Mais un deuxième avis peut entraîner des difficultés relationnelles entre le médecin et son patient, ainsi que parmi les médecins eux-mêmes. De plus, les patients doivent décider quoi faire après des conseils contradictoires de plusieurs médecins.
Les spécialistes interrogés ont également souligné la tension entre la médecine publique et privée, les lacunes en matière d'accessibilité entre les patients dans le centre et ceux de la périphérie du pays, l'intervention familiale, et les aspects juridiques et économiques de la seconde opinion.