L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Carence en fer : un simple dosage suffit
En cas de suspicion de carence en fer chez un patient, le prescripteur a le choix entre plusieurs examens. Afin de simplifier la démarche des médecins et éviter le recours à de multiples dosages différents, la Haute Autorité de santé (HAS) vient d’annoncer de nouvelles recommandations qui préconisent le dosage unique en ferritine pour poser le diagnostic.
C'est suite à une demande de l'Assurance-maladie, inquiète devant le trop grand nombre d’examens prescrits dans le but de vérifier le niveau de carence en fer, et le coût généré par ces derniers, que la HAS a évalué les différentes méthodes qui permettent de doser la quantité de fer dans le sang. A l'heure actuelle, 4 marqueurs sont utilisés couramment par les prescripteurs pour vérifier leur diagnostic : le fer, la ferritine, la transferrine et enfin les récepteurs solubles de la transferrine.
Après une analyse pointue de toutes ces méthodes, le groupe d'experts de la HAS estime que le dosage unique en ferritine sérique des les carences courantes en fer suffit. Dans les cas plus complexes, telle que l'insuffisance rénale, d’autres types d’examens peuvent être envisagés. Toutefois, les experts estiment que certains dosages n’ont que peu de pertinence et sont donc à éviter comme celui du fer seul.
Suite à ces recommandations, la HAS prépare une fiche de bonne pratique qui devrait être mise à la disposition des professionnels de santé d'ici à cet été.
