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Des tests de paternité de plus en plus tôt |
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| Une société britannique commercialisant des analyses ADN en ligne promet un résultat fiable dès la 9e semaine de grossesse, après une simple prise de sang de la mère.
La recherche en paternité commence de plus en plus tôt. Désormais, un père pourra savoir s'il est le géniteur de l'enfant à venir dès la 9e semaine de grossesse de la mère, soit bien avant la fin du premier trimestre. Une analyse prénatale qui existait déjà mais qui ne pouvait être réalisé qu'à un stade plus avancé de la grossesse. C'est le fournisseur international d'analyses ADN EasyDNA qui vient de l'annoncer en lançant ce nouveau «produit». Un test qui se veut novateur par sa procédure «non invasive» et donc «sans risque», vante le laboratoire anglais.
Les tests de paternité prénataux sont en général effectués en utilisant des procédures de prélèvement dites invasives telle que l'amniocentèse (entre la 14ème et la 20ème semaine de grossesse), le prélèvement des villosités choriales (PVC, entre la 10ème et la 13ème semaine) ou du sang fœtal pour obtenir l'échantillon. Le test d'Easy DNA consiste, lui, en une simple prise de sang qui peut être effectuée par n'importe quel professionnel qualifié, infirmière ou généraliste. Les scientifiques savaient depuis longtemps que le sang de la mère contenait l'ADN du fœtus, mais ils n'avaient pas la technologie pour l'en extraire et l'analyser.
Derrière les avancées de la recherche, les garanties d'accréditation d'AABB et un compte-rendu «actuellement en cours de préparation pour un journal scientifique», c'est surtout une véritable course commerciale contre la montre qui est engagée. Cet été, un autre laboratoire sortait un test similaire, «réalisable dès la 13ème semaine». Celui de Easy DNA coûte la modique somme de 1200 euros. La société en a déjà vendu trente en deux semaines.
Interdit en France
Chez Easy DNA, on se félicite de la trouvaille qui permet d'éviter «l'intervention médicale coûteuse d'un spécialiste », argumente Andrew Alexander, le directeur du Marketing. Avant d'insister sur la fiabilité du test. «Il est tout aussi précis que le test de paternité prénatal standard réalisé après la naissance du bébé. En fait, les deux tests permettent d'obtenir un taux de probabilité de 99,9 % en cas d'inclusion de paternité, et 100 % en cas d'exclusion», souligne la société.
Une simplification et une accessibilité qui risquent d'amplifier la polémique autour de la démocratisation des tests de paternité, occasionnée par leur vente sur Internet. L'engouement pour ces analyses, jusqu'alors postnatales, avait déjà scandalisé pour son aspect éthiquement incorrecte et… légalement contestable.
En effet, même si nombre de sites internet font commerce de ces tests, la loi française interdit aux particuliers la consultation de laboratoires quant à leur recherche de paternité. Ce test ne peut être ordonné que dans le cadre d'une procédure judiciaire visant à établir ou à contester un lien de filiation.
Reste que, dans la pratique, les ventes de ces «pack» entre 100 et 300 euros explosent. Les fans de «tests d'infidélité» qui veulent «lever le doute», comme le vantent les sites internet, sont nombreux. Rappelons qu'en 2005, une étude menée en Europe du Nord avait montré que 10 à 24 % des enfants n'étaient pas le fils ou la fille de leur père légal.
lefigaro.fr |
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