L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Les somnifères associés à un risque plus élevé de décès
Des médicaments couramment prescrits pour dormir sont associés à un risque de décès plus de quatre fois plus élevé que celui de personnes qui n'en consomment pas, selon une étude américaine.Ces divers somnifères sont également associés, chez les plus gros consommateurs, à un risque de cancer significativement plus élevé (35 %), notent les auteurs de l'étude, publiée par le journal médical « BMJ OPEN ». Les médicaments en cause incluent la famille des benzodiazépines, comme le témazepam, les non-benzodiazépines, comme le zolpidem, les barbituriques et les sédatifs antihistaminiques.
L'étude du Dr Daniel Kripke et de ses collègues porte sur 10.529 adultes, âgés de 54 ans en moyenne et ayant eu des ordonnances d' « hypnotiques » (médicaments pour dormir) entre janvier 2002 et janvier 2007.
Ils ont été comparés à un groupe de 23.676 de personnes n'utilisant pas d'aide médicamenteuse pour dormir et suivis 2,5 ans en moyenne.
Les patients qui prennent du zolpidem, du temazépam ou d'autres hypnotiques ont un risque de mortalité plus de quatre fois supérieur (4,6) à celui des personnes qui ne prennent aucun de ces médicaments.
Même chez les petits consommateurs (18 cachets ou moins par an), le risque de décès reste trois fois plus grand, ajoute l'étude.
Les auteurs reconnaissent que l'association entre ces médicaments et le risque de décès n'implique pas forcément un lien de cause à effet, même si leurs travaux viennent conforter d'autres études.
Néanmoins, ils donnent l'alarme vu la consommation de ces médicaments.