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Le palmarès 2012 des hôpitaux et cliniques de France
Actualités médicalesComme chaque année, voici nos palmarès des meilleurs hôpitaux et cliniques de France, dans un contexte de campagne électorale qui exacerbe conflits et débats.

Un secteur privé qui s'impose face à un secteur public qui peine à se réorganiser mais se montre offensif dans ce contexte de campagne électorale. Voilà ce qui ressort de notre palmarès 2012. Nos experts du Guide Santé, les Drs Stéphane Bach et Jean-Pascal Del Bano, ont ausculté 1241 établissements, 525 publics, 141 privés non lucratifs, 555 privés commerciaux et 20 centres de lutte contre le cancer. Fidèles à notre méthodologie, et toujours dans un souci d'équité, nous avons réparti les établissements en quatre catégories: les centres hospitaliers et cliniques de plus de 600 lits, ceux de 300 à 600 lits, ceux de 100 à 300 lits et les moins de 100 lits. Il s'agit de comparer ce qui est comparable, les CHU ne jouant pas dans la même cour et n'ayant pas les mêmes fonctions qu'une petite structure spécialisée.

» Les meilleurs établissements de plus de 600 lits

» Les meilleurs établissements de 600 à 300 lits

» Les meilleurs établissements de plus de 300 à 100 lits

» Les meilleurs établissements de plus de moins de 100 lits

Si l'année dernière, les résultats des secteurs public et privé s'équivalaient, cette édition révèle une prédominance des établissements privés commerciaux. Ces derniers grimpent dans le palmarès, emportant les premières places dans trois catégories - les moins de 100 lits, de 100 à 300 lits et de 300 à 600 lits - et s'y positionnant majoritairement parmi les 10 premiers.
Peu de surprises chez les bons élèves

Ce constat mis à part, il n'y a pas de bouleversements substantiels dans nos classements et la plupart des lauréats, toutes catégories confondues, figuraient déjà dans les résultats précédents. Ce qui montre que leur démarche qualité est soutenue et constante. En revanche, des établissements, pourtant bien positionnés en 2011, ont disparu du tableau d'honneur, souvent à la suite d'une certification moins flatteuse de la Haute Autorité de santé. Les observations portaient notamment sur le suivi médicamenteux des patients et les risques iatrogènes qui en découlent. Ainsi, pour ne citer qu'eux, le centre hospitalier intercommunal d'Elbeuf, la clinique Louis-Pasteur à Nancy, le centre hospitalier de Boulogne-sur-Mer…

Ces revirements reflètent une approche de plus en plus stricte et contraignante de la part des tutelles dans leurs évaluations, que ce soit pour la qualité des soins ou dans la lutte contre les maladies nosocomiales. Rien n'est laissé au hasard. Pour les hôpitaux et cliniques, il est de plus en plus difficile d'obtenir de bons niveaux de certification. C'est tout au bénéfice du patient. Sur cet aspect-là, la France reste une référence dans le monde en termes de qualité des soins hospitaliers.

ependant, ces contrôles renforcés ont permis à d'autres de s'illustrer. C'est le cas du centre hospitalier départemental de la Roche-sur-Yon, qui prend la première place du classement des structures de plus de 600 lits. Cet établissement public figurait dans notre palmarès 2011 en 9e position et apparaît aussi dans ceux de nos confrères pour la sécurité des soins et le traitement de la douleur. Il a ravi de justesse la première place au groupe interhospitalier Bichat-Claude Bernard. Les deux établissements sont seuls de ce groupe à avoir obtenu une certification 5 étoiles. Une performance à souligner.

Dans la catégorie des 300-600 lits, pas de surprise. La polyclinique Saint-George à Nice maintient sa première place. Fondée en 1969, elle s'est imposée comme une référence en Région Paca. Elle dispose d'un service d'urgence, propose des services de cardiologie, de chimiothérapie ambulatoire, de soins palliatifs ou encore d'assistance médicale à la procréation. Et ses prestations hôtelières sont reconnues. Elle est suivie par l'institut Gustave-Roussy de Villejuif spécialisé dans le traitement du cancer, et lui aussi référence dans son domaine. Toujours en quête de perfectionnement, l'institut ne cesse d'innover et d'investir dans de nouveaux équipements. Il vient d'acquérir un système de radiochirurgie performant, le Novalis Tx et devrait renouveler toute sa plate-forme de radiothérapie d'ici à l'année prochaine.

La clinique Saint-Joseph à Angoulême, connue notamment pour son expertise en chirurgie de la main et en pose de prothèses, conserve son titre de lauréat parmi les établissements de taille moyenne. La polyclinique Saint-Jean à Cagnes-sur-Mer se positionne sur la seconde marche. D'une capacité de 173 lits, et pluridisciplinaire, elle offre un véritable service public aux patients provenant du bassin cagnois et des communes avoisinantes.

Concernant les structures de moins de 100 lits, c'est encore une clinique, la polyclinique gériatrique Saint-François située à Nans-les-Pins, dans le Var, qui s'impose. Ce fleuron de la médecine gériatrique, détentrice de trois certifications sans réserve ni recommandation, ne se repose pas sur ses lauriers. La clinique Arago, à Paris, équipée de 53 lits de chirurgie orthopédique, se positionne comme challenger. Son rapport de certification met en évidence, parmi plusieurs points forts, une gestion remarquable de la prise en charge des usagers.
Des cliniques dynamiques

Ces lauréates sont révélatrices du dynamisme dont font preuve les cliniques du secteur privé. Réorganisées à coup de rachats, de regroupements, de fermetures, elles se montrent réactives et se positionnent en leaders en chirurgie ambulatoire, ayant su organiser leurs interventions et réduire les délais de séjour. Elles misent sur les soins de proximité, jouent la rentabilité et parviennent à attirer des grands noms de l'hôpital. Elles se dotent de services d'urgence et commencent à assurer des missions de service public comme la formation des internes.

Le secteur public connaît, lui, une période troublée. En cours de restructuration dans un contexte où la demande se porte sur des soins en ambulatoire, il est handicapé par sa masse salariale et peine à réduire ses déficits malgré des tarifs généralement facturés plus cher à l'assurance-maladie. Mais il traite trois fois plus de pathologies que le privé et assure toutes les missions de service public: recherche, enseignement, urgences, prises en charge dérogatoires, permanence des soins et son accès pour tous… Contraintes qui pèsent dans ses finances, même s'il perçoit des enveloppes spécifiques de l'Etat.
Mauvaise gestion des hôpitaux publics

Le conflit latent entre les deux secteurs s'est exacerbé à l'approche des élections présidentielles. C'est une plate-forme politique présentée par la Fédération hospitalière de France (porte-voix des établissements publics) à l'attention des candidats à la présidentielle qui a mis le feu aux poudres. Elle préconise, parmi d'autres mesures, de remplacer les médecins libéraux, faisant défaut dans les déserts médicaux, par les médecins hospitaliers. La réplique de la Fédération de l'hospitalisation privée ne s'est pas fait attendre. Rappelant les déficits de l'hôpital public, elle se propose d'assurer la gestion des établissements publics déficitaires et exige la transparence sur les subventions d'équilibre consenties par l'Etat aux hôpitaux déficitaires. Ambiance.Mais ces débats sur le fonctionnement et le financement ne concernent pas la qualité des soins, qui reste finalement l'objectif des établissements de santé, qu'ils soient publics ou privés. Alain Hériaud, président de la Conférence des directeurs généraux de CHU, temporise: «Les échauffourées relèvent de querelles d'état-major sans toujours refléter la réalité du terrain. Dans les Régions, l'esprit oscille plutôt entre l'émulation, la coopération et la saine concurrence. Et public et privé répondent ensemble aux besoins de la population.»

Pour couronner le tout, la Cour des comptes publie un rapport édifiant sur la gestion calamiteuse par les hôpitaux publics de leur patrimoine foncier non affecté aux soins. Immeubles d'habitation, châteaux, manoirs, entrepôts, anciens hôpitaux désaffectés mais aussi des vignes, des forêts… soit un ensemble foncier de 60 millions de mètres carrés, issu notamment de dons et de legs, dont il n'existe, indique le rapport, «aucune estimation globale» et aucun «recensement national». Loué à bas prix, mal entretenu, voire laissé à l'abandon, ce patrimoine «géré de manière peu active»… pourrait rapporter de bien meilleures recettes que les 83 millions qu'ils en obtiennent. Et même si «la valorisation de ses biens privés ne pourrait permettre de résorber les déficits», une reprise en main «est indispensable», souligne la Cour des comptes quand «le déficit cumulé des hôpitaux a atteint près de 500 millions d'euros et que leur endettement a dépassé 24 milliards d'euros en 2010». L'Agence nationale d'appui à la performance des établissements de santé et médico-sociaux (Anap) s'est portée candidate pour aider à une meilleure gestion.

De leur côté, les usagers se montrent préoccupés par la qualité et l'accès aux soins, mais aussi par les excès en matière de dépassement d'honoraires médicaux. Un phénomène non exclusif du secteur privé. Il concerne aussi le secteur public depuis que des praticiens salariés sont autorisés à pratiquer une activité libérale au sein de l'hôpital. Sur ce terrain-là et contre toute attente, le secteur public pourrait bien l'emporter. D'après une récente enquête de 60 Millions de Consommateurs, le taux moyen des dépassements oscille, selon les actes, les lieux et les praticiens, entre 68 et 408 % du tarif de la Sécurité sociale… Confrontés à ces abus et conscients que leur budget santé va augmenter au cours des années à venir, les patients espèrent bien, selon un sondage Viavoice pour le Collectif interassociatif sur la santé (CISS), que la santé sera prise en compte dans le débat électoral pour que chacun puisse en bénéficier à égalité.

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