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Le cœur des femmes plus sensible au stress |
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| L'irrigation cardiaque reste stable après une forte émotion, augmentant le risque d'infarctus.
Cause importante de décès en France, les maladies coronariennes ne frappent pas de la même manière selon le sexe. Alors que la fréquence des accidents cardiaques reste plus importante chez les hommes que chez les femmes, ces dernières ont plus de risque d'avoir des symptômes de malaise cardiaque après une forte émotion.
Tentant de comprendre les raisons de cet écart, des chercheurs de la faculté de médecine de Pennsylvanie (États-Unis) ont découvert que le débit sanguin dans les artères coronaires augmente chez les hommes soumis à un stress, mais reste stable chez les femmes - ce qui pourrait expliquer la plus grande fragilité de leur cœur lors d'une émotion intense.
Conductance des artères
L'expérience a été menée auprès de 17 hommes et femmes en bonne santé. Le rythme cardiaque et la tension artérielle de chaque volontaire ont d'abord été mesurés, ainsi que la «conductance» des artères coronaires, qui alimentent le cœur en sang oxygéné, au moyen d'un Doppler. Les «cobayes» se sont ensuite livrés à des exercices de calcul mental pendant trois minutes - une suite de soustractions de 7 à partir d'un nombre choisi au hasard. Pour aggraver le stress, les scientifiques ont harcelé les candidats, leur demandant de répondre plus vite ou prétendant, à tort, que leur calcul était faux.
À l'issue de l'examen, les trois mesures ont été renouvelées. Résultat: au repos, hommes et femmes avaient des résultats quasiment similaires. Après le test, leur rythme cardiaque et leur pression sanguine avaient augmenté dans les mêmes proportions. Mais alors que les hommes avaient bénéficié d'une meilleure irrigation cardiaque, la conductance des artères féminines était restée inchangée.
«Cela permet de comprendre pourquoi les femmes réagissent moins bien, sur le plan cardiaque, à des événements stressants comme la perte d'un époux», remarque le responsable de ce travail présenté au Congrès de biologie expérimentale, organisé cette semaine à San Diego (Californie) par la Société américaine de physiologie.
«Même si l'étude porte sur un faible échantillon, elle constitue une piste de réflexion très intéressante, commente de son côté le Pr Claire Mounier-Vehier, vice-présidente de la Fédération française de cardiologie. Un problème structurel est probablement à l'origine de cette différence de réaction au stress. Les variations hormonales, que connaissent les femmes au cours de leur vie, sont peut-être une des explications. Leurs artères vieillissent plus vite que celles des hommes: à la ménopause, leurs vaisseaux se rigidifient et s'épaississent.»
De manière plus générale, l'étude remet également l'accent sur les effets négatifs du stress pour la santé.
lefigaro.fr |
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