L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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New York s'attaque à la consommation des sodas
La ville de New York prévoit d'interdire la vente de boissons sucrées de plus de 470 ml pour lutter contre l'obésité.
Après l'interdiction de la cigarette dans les restaurants et les parcs publics, le maire de New York s'attaque maintenant aux sodas et aux boissons sucrées pour limiter le problème de surpoids qui touche plus de la moitié des New Yorkais. Pour la première fois aux États-Unis, la distribution de boissons sucrées contenues dans des gobelets de plus de 470 ml (16 onces) pourrait être interdite à partir de mars 2013. Cette mesure concernerait avant tout les fast-foods, les supérettes et les vendeurs ambulants dans la rue. En revanche, elle ne s'appliquerait pas aux boissons gazeuses «light» pauvres en calories, aux jus de fruit, à l'alcool et aux boissons lactées comme les milk-shakes.
«L'obésité est un vrai problème national et partout aux États-Unis, les autorités de santé le savent mais se contentent uniquement de dire «Oh, c'est vraiment terrible»», a déclaré Michael Bloomberg, le maire de la ville, lors d'une conférence de presse. «Mais New York a décidé de prendre le problème à bras le corps et c'est exactement ce que les citoyens attendaient de nous», a-t-il ajouté. Pour le Dr Thomas Farley, commissaire à la santé de la ville, il est urgent d'agir car les boissons sucrées seraient responsables de plus de la moitié des cas d'obésité de la ville. Rien d'étonnant quand on sait qu'un tiers des New-Yorkais boit un à plusieurs sodas par jour, d'après les données de la mairie.
New York, le modèle à suivre Mais dans un pays où les fast-foods proposent des boissons pouvant atteindre 1,2 litres par gobelet, cette mesure risque de contrarier les plus accros comme ceux qui y voient une atteinte à leur liberté individuelle. C'est le cas de Zara Atal, une étudiante de 20 ans, interrogée par le New York Times : «Si les gens ont envie de boire un litre de sodas, c'est leur choix».