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La plante miracle existe-t-elle ?
Aucun traitement miracle n’existe actuellement contre le diabète ». Le docteur Ayati est catégorique. « Tous les médicaments actuels sont faits à partir de produits de synthèse : de l’insuline injectable pour le diabète de Type 1 (insulinodépendant), et des médicaments hypoglycémiants oraux pour le diabète de type 2 (non insulinodépendant).
Ces traitements pour qu’ils soient efficaces doivent être complétés par une discipline stricte et un régime alimentaire adapté à chaque cas clinique » explique-t-il. Pour lui, l’existence d’une plante qui peut guérir le diabète de type 1 est de la fantaisie. « Il existe plusieurs plantes hypoglycémiantes mais elles ne peuvent en aucun cas remplacer les médicaments servis sur ordonnance médicale ; elles ne peuvent être utilisées que comme adjuvants », ajoute-t-il. La plante miracle contre le diabète qu’un citoyen de Béjaïa croit avoir découvert ne serait finalement qu’une des thérapies utilisées par les acteurs de la phytothérapie kabyle traditionnelle.
La pharmacopée kabyle est d’ailleurs très riche dans ce domaine. Les ouvrages de Lucienne Delille et notamment Plantes médicales de Kabylie de Mohand Aït Youssef en font foi ; ils sont une véritable mine d’informations pour les chercheurs et les adeptes de la médecine traditionnelle. Il existe plusieurs plantes en Kabylie utilisées comme remèdes antidiabétiques confirmés par l’usage traditionnel et par des études scientifiques. On citera, à titre d’exemple, le figuier noir (Taneqlet Taberkent), l’opuntia (Akermous), le fenugrec (Lhalva), le frêne (Aslen), l’olivier (Azemour), l’aloès (Sebbara). À titre indicatif, voici ce qui est écrit en page 137 du volumineux livre de Mohand Aït Youssef : « On prend l’écorce du figuier, celle de la variété qui porte des figues noires : on fait bouillir cette écorce (décoction) ; on prendra ensuite au moins une tasse du décocté chaque matin à jeûn, dans le cas de diabète gras.
Ce remède a été utilisé par une voisine sur qui ont été pratiqués des dosages de glycémie à jeûn, l’une avant le traitement, et les autres après : les prises de sang ont confirmé l’efficacité du traitement. ». Evidemment, la prescription de ses végétaux ne peut être établie que par un phytothérapeute connu pour ses compétences. Mais tous les médecins l’affirment, ces plantes ne peuvent être prises que comme des adjuvants et non comme la médication principale. Ayant fait part de toutes ses informations à Abderrezak R., natif de la région de Béjaïa, qui nous a déclaré avoir trouvé une plante pouvant guérir le diabète (voir Kabylie info du 15 septembre 2008), il a tenu d’abord, devant l’espoir et l’engouement qu’a suscités l’information donnée dans ces mêmes colonnes, à donner quelques éclaircissements.
« Je n’ai jamais été soumis à un traitement contre le diabète. Aucun médecin ne m’a dit que je suis diabétique. J’avais des vertiges, je perdais connaissance, je buvais d’énormes quantités d’eau ; le médecin hongrois que je consultais à l’époque, ne me disait rien. C’est alors que je me suis tourné vers la médecine traditionnelle et que j’ai trouvé ce traitement grâce à mes expériences », nous déclare-t-il. Jusqu’à présent, aucun laboratoire ne s’est manifesté pour examiner ce prétendu produit miracle ; seuls des malades de plus en plus nombreux s’intéressent à Abderrezak et sa « plante » ; ce qui l’exaspère d’ailleurs : « Ce que je souhaite, c’est que ma décoction soit analysée par un laboratoire sérieux pour affirmer ou infirmer mes assertions.
Je ne sais pas à l’heure actuelle si mon mélange n’est pas nocif, s’il n’a pas de contre-indications et à quels types de malades il convient. Il n’y a que les véritables médecins qui peuvent répondre à ces questions. Moi, je suis quelqu’un qui pense avoir trouvé un médicament à base de plantes qui peut être efficace pour beaucoup de maladies. Mais le dernier mot revient aux scientifiques », tient-il à préciser.
Source : el watan
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