|
|
|
|
|
|
|
|
- mercredi 28. octobre 2015
Fibrillation auriculaire
- samedi 19. septembre 2015
L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
- samedi 15. août 2015
Consommation d\'aliments épicés et mortalité toutes causes et spécifiques: une étude de cohorte basée sur la population.
- mercredi 22. juillet 2015
Le tabagisme passif est associé à l\'inflammation vasculaire...
- dimanche 28. juin 2015
Antibiothérapie versus Appendicectomie en traitement d\'une appendicite aigüe non compliquée: l\'essai clinique randomisé APPAC
- mardi 9. juin 2015
Qualité de l\'air intérieur, ventilation et santé respiratoire chez les résidents âgés vivant en maison médicalisée en Europe.
- jeudi 23. avril 2015
Association entre sauna accidents cardiovasculaires fatals et mortalité toutes causes
- jeudi 12. mars 2015
Associations dose-réponse entre une activité cycliste et le risque d\'hypertension artérielle (HTA)
- lundi 2. mars 2015
Longévité et déterminants de l\'immunité humorale protectrice après infection grippale pandémique.
- dimanche 15. février 2015
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
|
|
|
|
|
|
Invités en ligne : 1042
Membres en ligne : 0
Membres enregistrés : 5,082
Membre le plus récent : abderahmene
|
|
|
|
Pourquoi notre poids est lié à l'affection que l'on reçoit? |
|
| Nous aimons comme nous mangeons, et nos kilos superflus sont souvent en lien avec nos difficultés à aimer et à être aimé. Extrait de "L'Amour et les kilos", du Dr Stéphane Clerget et Bernadette Costa-Prades, publié chez Albin Michel (2/2).
Dès notre naissance, la faim est là, douloureuse, qui fait pleurer et même hurler le bébé s'il n'est pas nourri assez vite. Heureusement, les adultes, sensibles à ses cris de détresse, viennent soulager cette tension sans trop attendre.
La montée de la glycémie, puis l'apaisement agréable de la tétée rythme les journées du nouveau-né. C'est ainsi que nous découvrons tous le plaisir, par la suppression de la douleur procurée par la faim.
En même temps que nous sommes alimentés, nous sommes pris dans les bras, cajolés, et le repas est immédiatement associé à la chaleur, au corps à corps, aux paroles douces, à une odeur rassurante. Nourris, nous ne sommes plus tout seuls, c'est le moment où l'adulte maternant nous prend dans les bras, aussi allons-nous faire très tôt cette association entre prise alimentaire et amour.
D'autant que la personne qui nous nourrit manifeste aussi son plaisir, à moins qu'elle ne soit déprimée. Soulager un bébé qui pleure procure une grande satisfaction : d'abord parce qu'il cesse de nous casser les oreilles - ne minimisons pas ce détail ! -, mais aussi parce que nous nous projetons en lui, dans le bien-être que nous lui procurons, renforçant notre sentiment d'être utiles, compétents.
Par mimétisme, nos propres lèvres bougent un peu, notre tête accompagne les mouvements du bébé. Ce plaisir maternel décuple le plaisir de l'enfant, d'autant que la mère libère de l'ocytocine, cette fameuse hormone de l'attachement. Bref, se crée un cercle vertueux dans lequel mère et bébé ressentent un plaisir simultané, lequel renforce encore leur lien.
|
|
|
|
|
|
|
|
Aucun Commentaire n'a été publié.
|
|
|
Connectez-vous pour publier un Commentaire.
|
|
|
L'évalutation n'est disponible que pour les membres.
Connectez-vous ou enregistrez-vous pour voter.
Aucune évaluation publiée.
|
|
|
| |