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Un nouveau test pour le cancer de la prostate
Actualités médicalesDes chercheurs américains annoncent avoir mis au point un test diagnostic urinaire plus précis que le dosage du PSA pour le dépistage du cancer de la prostate. Le nouveau test consiste à identifier la présence de 4 biomarqueurs « généralement exprimés dans ce type de cancer ». Le résultat serait fiable à 75%.

L'équipe du Dr Arul Chinnaiyan (Université du Michigan) a récolté des échantillons d'urine auprès de 234 hommes, dont 138 atteints d'un cancer de la prostate. Tous ont subi une biopsie prostatique –c'est-à-dire un prélèvement de tissu organique pour analyse- ainsi qu'un dosage du PSA (pour Prostate Specific Antigen ou antigène spécifique de la prostate).

Le résultat semble prometteur. « En comparant les informations fournies par les trois techniques de dépistage, nous avons constaté que le test urinaire est un moyen efficace pour dépister un cancer débutant » précise Arul Chinnaiyan. Il estime posséder là un bon indicateur prédictif de la maladie. « Le test s'est révélé fiable à 75%, bien devant le dosage du PSA ».

Rappelons toutefois qu'en France, et à la différence des Etats-Unis, le dépistage du cancer de la prostate ne s'appuie pas uniquement sur le dosage du PSA. Un toucher rectal est également pratiqué dans le cadre du dépistage des troubles de la prostate, recommandé une fois par an à partir de 50 ans.

Source : Cancer Research, 1 février 2008
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Commentaires
#1 | M Benatta le février 03 2008 19:15:50
il est vrai aussi qu'en France l'association francaise d'urologie AFU recommande en plus ,(du depistage par PSA et toucher rectal chez les sujets de plus de 50 ans) ,un dépistage dés 45 ans chez les sujets a (risque ) cad avec des antécédants familiaux de cancer prostatique .
pour ce nouveau marqueur ,ce sera une révolution si sa fiabilité dépasse celle du PSA, en plus c'est sur des urines ,alors que le PSA se fait sur prelevement sanguin.
il y a une question qui reste en suspens,quel sera le cout de ce marqueur par rapport au PSA ?
car celui du PSA est a la portée de beaucoup de bourses. Cool
#2 | Manar le février 19 2008 15:57:13
Traitement du cancer de la prostate: nouveau test diagnostique

Une équipe multicentrique dirigée par le Centre de recherche en cancérologie (université Laval à Québec) avance qu'un test mis au point par DiagnoCure, une entreprise biotechnologique de la région de Québec, pourrait combler les lacunes du test le plus utilisé actuellement pour diagnostiquer le cancer de la prostate, et peut-être même le remplacer un jour.

D'après une étude menée auprès de 517 hommes, ce nouveau test, appelé uPM3, permet de diagnostiquer le cancer de la prostate avec beaucoup plus de spécificité que le test du PSA sanguin (Prostate Specific Antigen), utilisé aujourd'hui en clinique :
ce nouveau test permet de conclure correctement à la présence ou à l'absence du cancer de la prostate dans 81% des cas, alors que la performance du test du PSA sanguin s'établit à 45%.

Le test uPM3 détecte la présence d'un gène associé au cancer de la prostate, le PCA3, dans un échantillon d'urine obtenu après palpation de la prostate par un médecin. Cette procédure libère des cellules de la prostate qui se retrouvent ainsi dans l'échantillon d'urine servant aux analyses.

Le gène PCA3 est surexprimé dans 95% des cas de cancer de la prostate, ce qui explique pourquoi il est plus spécifique que le test du PSA sanguin. Comme l'uPM3 offre une meilleure performance, il réduit le nombre de biopsies pratiquées inutilement sur des hommes que l'on croit faussement atteints du cancer.
Cette plus grande spécificité se traduirait par des économies substantielles pour le système de santé, mais aussi par des d'heures d'angoisse en moins pour les hommes qui subissent un test de dépistage du cancer de la prostate.



















Traitement du cancer de la prostate: nouveau test diagnostique

Une équipe multicentrique dirigée par le Centre de recherche en cancérologie (université Laval à Québec) avance qu'un test mis au point par DiagnoCure, une entreprise biotechnologique de la région de Québec, pourrait combler les lacunes du test le plus utilisé actuellement pour diagnostiquer le cancer de la prostate, et peut-être même le remplacer un jour.

D'après une étude menée auprès de 517 hommes, ce nouveau test, appelé uPM3, permet de diagnostiquer le cancer de la prostate avec beaucoup plus de spécificité que le test du PSA sanguin (Prostate Specific Antigen), utilisé aujourd'hui en clinique :
ce nouveau test permet de conclure correctement à la présence ou à l'absence du cancer de la prostate dans 81% des cas, alors que la performance du test du PSA sanguin s'établit à 45%.

Le test uPM3 détecte la présence d'un gène associé au cancer de la prostate, le PCA3, dans un échantillon d'urine obtenu après palpation de la prostate par un médecin. Cette procédure libère des cellules de la prostate qui se retrouvent ainsi dans l'échantillon d'urine servant aux analyses.

Le gène PCA3 est surexprimé dans 95% des cas de cancer de la prostate, ce qui explique pourquoi il est plus spécifique que le test du PSA sanguin. Comme l'uPM3 offre une meilleure performance, il réduit le nombre de biopsies pratiquées inutilement sur des hommes que l'on croit faussement atteints du cancer.
Cette plus grande spécificité se traduirait par des économies substantielles pour le système de santé, mais aussi par des d'heures d'angoisse en moins pour les hommes qui subissent un test de dépistage du cancer de la prostate.
#3 | Manar le février 19 2008 15:57:29
Traitement du cancer de la prostate: nouveau test diagnostique

Une équipe multicentrique dirigée par le Centre de recherche en cancérologie (université Laval à Québec) avance qu'un test mis au point par DiagnoCure, une entreprise biotechnologique de la région de Québec, pourrait combler les lacunes du test le plus utilisé actuellement pour diagnostiquer le cancer de la prostate, et peut-être même le remplacer un jour.

D'après une étude menée auprès de 517 hommes, ce nouveau test, appelé uPM3, permet de diagnostiquer le cancer de la prostate avec beaucoup plus de spécificité que le test du PSA sanguin (Prostate Specific Antigen), utilisé aujourd'hui en clinique :
ce nouveau test permet de conclure correctement à la présence ou à l'absence du cancer de la prostate dans 81% des cas, alors que la performance du test du PSA sanguin s'établit à 45%.

Le test uPM3 détecte la présence d'un gène associé au cancer de la prostate, le PCA3, dans un échantillon d'urine obtenu après palpation de la prostate par un médecin. Cette procédure libère des cellules de la prostate qui se retrouvent ainsi dans l'échantillon d'urine servant aux analyses.

Le gène PCA3 est surexprimé dans 95% des cas de cancer de la prostate, ce qui explique pourquoi il est plus spécifique que le test du PSA sanguin. Comme l'uPM3 offre une meilleure performance, il réduit le nombre de biopsies pratiquées inutilement sur des hommes que l'on croit faussement atteints du cancer.
Cette plus grande spécificité se traduirait par des économies substantielles pour le système de santé, mais aussi par des d'heures d'angoisse en moins pour les hommes qui subissent un test de dépistage du cancer de la prostate.



















Traitement du cancer de la prostate: nouveau test diagnostique

Une équipe multicentrique dirigée par le Centre de recherche en cancérologie (université Laval à Québec) avance qu'un test mis au point par DiagnoCure, une entreprise biotechnologique de la région de Québec, pourrait combler les lacunes du test le plus utilisé actuellement pour diagnostiquer le cancer de la prostate, et peut-être même le remplacer un jour.

D'après une étude menée auprès de 517 hommes, ce nouveau test, appelé uPM3, permet de diagnostiquer le cancer de la prostate avec beaucoup plus de spécificité que le test du PSA sanguin (Prostate Specific Antigen), utilisé aujourd'hui en clinique :
ce nouveau test permet de conclure correctement à la présence ou à l'absence du cancer de la prostate dans 81% des cas, alors que la performance du test du PSA sanguin s'établit à 45%.

Le test uPM3 détecte la présence d'un gène associé au cancer de la prostate, le PCA3, dans un échantillon d'urine obtenu après palpation de la prostate par un médecin. Cette procédure libère des cellules de la prostate qui se retrouvent ainsi dans l'échantillon d'urine servant aux analyses.

Le gène PCA3 est surexprimé dans 95% des cas de cancer de la prostate, ce qui explique pourquoi il est plus spécifique que le test du PSA sanguin. Comme l'uPM3 offre une meilleure performance, il réduit le nombre de biopsies pratiquées inutilement sur des hommes que l'on croit faussement atteints du cancer.
Cette plus grande spécificité se traduirait par des économies substantielles pour le système de santé, mais aussi par des d'heures d'angoisse en moins pour les hommes qui subissent un test de dépistage du cancer de la prostate.
#4 | Manar le février 19 2008 15:58:25
MANAR 19/02/2008
Traitement du cancer de la prostate: nouveau test diagnostique

Une équipe multicentrique dirigée par le Centre de recherche en cancérologie (université Laval à Québec) avance qu'un test mis au point par DiagnoCure, une entreprise biotechnologique de la région de Québec, pourrait combler les lacunes du test le plus utilisé actuellement pour diagnostiquer le cancer de la prostate, et peut-être même le remplacer un jour.

D'après une étude menée auprès de 517 hommes, ce nouveau test, appelé uPM3, permet de diagnostiquer le cancer de la prostate avec beaucoup plus de spécificité que le test du PSA sanguin (Prostate Specific Antigen), utilisé aujourd'hui en clinique :
ce nouveau test permet de conclure correctement à la présence ou à l'absence du cancer de la prostate dans 81% des cas, alors que la performance du test du PSA sanguin s'établit à 45%.

Le test uPM3 détecte la présence d'un gène associé au cancer de la prostate, le PCA3, dans un échantillon d'urine obtenu après palpation de la prostate par un médecin. Cette procédure libère des cellules de la prostate qui se retrouvent ainsi dans l'échantillon d'urine servant aux analyses.

Le gène PCA3 est surexprimé dans 95% des cas de cancer de la prostate, ce qui explique pourquoi il est plus spécifique que le test du PSA sanguin. Comme l'uPM3 offre une meilleure performance, il réduit le nombre de biopsies pratiquées inutilement sur des hommes que l'on croit faussement atteints du cancer.
Cette plus grande spécificité se traduirait par des économies substantielles pour le système de santé, mais aussi par des d'heures d'angoisse en moins pour les hommes qui subissent un test de dépistage du cancer de la prostate.



















Traitement du cancer de la prostate: nouveau test diagnostique

Une équipe multicentrique dirigée par le Centre de recherche en cancérologie (université Laval à Québec) avance qu'un test mis au point par DiagnoCure, une entreprise biotechnologique de la région de Québec, pourrait combler les lacunes du test le plus utilisé actuellement pour diagnostiquer le cancer de la prostate, et peut-être même le remplacer un jour.

D'après une étude menée auprès de 517 hommes, ce nouveau test, appelé uPM3, permet de diagnostiquer le cancer de la prostate avec beaucoup plus de spécificité que le test du PSA sanguin (Prostate Specific Antigen), utilisé aujourd'hui en clinique :
ce nouveau test permet de conclure correctement à la présence ou à l'absence du cancer de la prostate dans 81% des cas, alors que la performance du test du PSA sanguin s'établit à 45%.

Le test uPM3 détecte la présence d'un gène associé au cancer de la prostate, le PCA3, dans un échantillon d'urine obtenu après palpation de la prostate par un médecin. Cette procédure libère des cellules de la prostate qui se retrouvent ainsi dans l'échantillon d'urine servant aux analyses.

Le gène PCA3 est surexprimé dans 95% des cas de cancer de la prostate, ce qui explique pourquoi il est plus spécifique que le test du PSA sanguin. Comme l'uPM3 offre une meilleure performance, il réduit le nombre de biopsies pratiquées inutilement sur des hommes que l'on croit faussement atteints du cancer.
Cette plus grande spécificité se traduirait par des économies substantielles pour le système de santé, mais aussi par des d'heures d'angoisse en moins pour les hommes qui subissent un test de dépistage du cancer de la prostate.
#5 | Manar le février 19 2008 15:59:04
B)
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MANAR 19/02/2008
Traitement du cancer de la prostate: nouveau test diagnostique

Une équipe multicentrique dirigée par le Centre de recherche en cancérologie (université Laval à Québec) avance qu'un test mis au point par DiagnoCure, une entreprise biotechnologique de la région de Québec, pourrait combler les lacunes du test le plus utilisé actuellement pour diagnostiquer le cancer de la prostate, et peut-être même le remplacer un jour.

D'après une étude menée auprès de 517 hommes, ce nouveau test, appelé uPM3, permet de diagnostiquer le cancer de la prostate avec beaucoup plus de spécificité que le test du PSA sanguin (Prostate Specific Antigen), utilisé aujourd'hui en clinique :
ce nouveau test permet de conclure correctement à la présence ou à l'absence du cancer de la prostate dans 81% des cas, alors que la performance du test du PSA sanguin s'établit à 45%.

Le test uPM3 détecte la présence d'un gène associé au cancer de la prostate, le PCA3, dans un échantillon d'urine obtenu après palpation de la prostate par un médecin. Cette procédure libère des cellules de la prostate qui se retrouvent ainsi dans l'échantillon d'urine servant aux analyses.

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Cette plus grande spécificité se traduirait par des économies substantielles pour le système de santé, mais aussi par des d'heures d'angoisse en moins pour les hommes qui subissent un test de dépistage du cancer de la prostate.



















Traitement du cancer de la prostate: nouveau test diagnostique

Une équipe multicentrique dirigée par le Centre de recherche en cancérologie (université Laval à Québec) avance qu'un test mis au point par DiagnoCure, une entreprise biotechnologique de la région de Québec, pourrait combler les lacunes du test le plus utilisé actuellement pour diagnostiquer le cancer de la prostate, et peut-être même le remplacer un jour.

D'après une étude menée auprès de 517 hommes, ce nouveau test, appelé uPM3, permet de diagnostiquer le cancer de la prostate avec beaucoup plus de spécificité que le test du PSA sanguin (Prostate Specific Antigen), utilisé aujourd'hui en clinique :
ce nouveau test permet de conclure correctement à la présence ou à l'absence du cancer de la prostate dans 81% des cas, alors que la performance du test du PSA sanguin s'établit à 45%.

Le test uPM3 détecte la présence d'un gène associé au cancer de la prostate, le PCA3, dans un échantillon d'urine obtenu après palpation de la prostate par un médecin. Cette procédure libère des cellules de la prostate qui se retrouvent ainsi dans l'échantillon d'urine servant aux analyses.

Le gène PCA3 est surexprimé dans 95% des cas de cancer de la prostate, ce qui explique pourquoi il est plus spécifique que le test du PSA sanguin. Comme l'uPM3 offre une meilleure performance, il réduit le nombre de biopsies pratiquées inutilement sur des hommes que l'on croit faussement atteints du cancer.
Cette plus grande spécificité se traduirait par des économies substantielles pour le système de santé, mais aussi par des d'heures d'angoisse en moins pour les hommes qui subissent un test de dépistage du cancer de la prostate.
Traitement du cancer de la prostate: nouveau test diagnostique

Une équipe multicentrique dirigée par le Centre de recherche en cancérologie (université Laval à Québec) avance qu'un test mis au point par DiagnoCure, une entreprise biotechnologique de la région de Québec, pourrait combler les lacunes du test le plus utilisé actuellement pour diagnostiquer le cancer de la prostate, et peut-être même le remplacer un jour.

D'après une étude menée auprès de 517 hommes, ce nouveau test, appelé uPM3, permet de diagnostiquer le cancer de la prostate avec beaucoup plus de spécificité que le test du PSA sanguin (Prostate Specific Antigen), utilisé aujourd'hui en clinique :
ce nouveau test permet de conclure correctement à la présence ou à l'absence du cancer de la prostate dans 81% des cas, alors que la performance du test du PSA sanguin s'établit à 45%.

Le test uPM3 détecte la présence d'un gène associé au cancer de la prostate, le PCA3, dans un échantillon d'urine obtenu après palpation de la prostate par un médecin. Cette procédure libère des cellules de la prostate qui se retrouvent ainsi dans l'échantillon d'urine servant aux analyses.

Le gène PCA3 est surexprimé dans 95% des cas de cancer de la prostate, ce qui explique pourquoi il est plus spécifique que le test du PSA sanguin. Comme l'uPM3 offre une meilleure performance, il réduit le nombre de biopsies pratiquées inutilement sur des hommes que l'on croit faussement atteints du cancer.
Cette plus grande spécificité se traduirait par des économies substantielles pour le système de santé, mais aussi par des d'heures d'angoisse en moins pour les hommes qui subissent un test de dépistage du cancer de la prostate.
#6 | Manar le février 19 2008 16:00:45
Un test sanguin pour dépister le cancer de la prostate

Une étude menée par le professeur Dr Vivek Goel de l'université de Toronto démontre lafiabilité et l'utilité du test très controversé de l'antigène prostatique spécifique (APS) dans le cadre du dépistage du cancer de la prostate. Le test de l'APS est une analyse sanguine qui peut aider à dépister un cancer de la prostate. Il permet de mesurer le taux d'antigène prostatique spécifique produit par la prostate. Il est normal de trouver de petites quantités d'APS dans le sang, mais le taux peut augmenter en présence de troubles de la prostate.
Le taux d'APS varie en fonction de l'âge et a tendance à augmenter chez les hommes de plus
de 60 ans. Un taux élevé d'APS peut être attribuable à plusieurs problèmes de la prostate et
n'est pas nécessairement un signe de cancer. Il peut également arriver que le taux d'APS
demeure normal chez des hommes atteints de cancer de la prostate et qu'il soit élevé chez des hommes souffrant d'hypertrophie bénigne de la prostate. Pendant des années ce test a été très controversé car il peut avoir un taux élevé de faux positifs qui mènent à des interventions et dustress inutiles.Cette étude .montre que les hommes qui ont subi le test APS avant de ressentir des symptômes ont 35% moins de chance de développer un cancer de la prostate que ceux qui n'ont jamais été dépistés. D'autres essais sont en cours pour compléter cette étude mais les résultats finaux ne seront disponibles que dans plusieurs années.
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