L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
Membres enregistrés : 5,082
Membre le plus récent : abderahmene
Des aliments faibles en radiocarbone
Une entreprise de l’Ohio, Radiocarb Genetics, a développé avec succès le premier aliment faible en radiocarbone. Il s’agit de soya qui n’aurait qu’un faible niveau de carbone radioactif nocif, le carbone 14 ou radiocarbone, que l'on trouve normalement dans les aliments.
La compagnie prétend que les nourrissons et les enfants nourris avec des aliments qui contiennent peu de radiocarbone subiraient moins de dommages génétiques au cours de leur vie. En réduisant les dommages génétiques, les risques de cancers et de malformations à la naissance pourraient également être réduits.
Le secret du processus de fabrication des «LifeBlocks», les aliments à faible teneur en radiocarbone développés par Radiocarb Genetics, est le recours à des émissions de dioxyde de carbone que contient pratiquement pas de carbone 14 radioactif.
Tous les aliments ordinaires, qu'il s'agisse de plantes, d’animaux d'élevage ou de poissons, même organiques, sont contaminés au radiocarbone. Tous portent les traces du radiocarbone qui est produit naturellement dans l'atmosphère par les rayons cosmiques. Ce fait, bien connu, est à la base de la méthode de datation au carbone 14, méthode utilisée pour connaître l’âge d’objets anciens.
Ce qui est moins connu, c'est que le radiocarbone est présent de plus en plus dans le corps des enfants où il provoque des dommages génétiques. Le radiocarbone est incorporé dans l'ADN des cellules du cerveau durant la grossesse et la petite enfance et y demeure à vie. Radiocarb Genetics soutient qu’une nutrition faible en radiocarbone chez les nourrissons et les enfants peut empêcher l'absorption de radiocarbone dans les cellules du cerveau.
Un article scientifique sur la question écrit par le Dr Chris Williams, président de Radiocarb Genetics, est publié dans Environmental Chemistry Letters.