L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Découverte
Des nanorobots injectables pouvant opérer dans le cerveau ont été mis au point par une équipe de scientifiques australiens, rapportent des agences de presse.
D’un diamètre de 250 nanomètres, soit l’épaisseur de 2 à 3 cheveux, ces robots pourront « être placés dans des artères humaines, particulièrement là où les technologies traditionnelles ne peuvent pas être utilisées », indiquent ces agences qui citent James Friend, co-auteur d’une étude parue dans la revue Journal of Micromechanics and Microengeneering. Selon ce scientifique, le nanorobot « peut-être injecté dans le cou », car, a-t-il expliqué, « les flots artériels y sont beaucoup plus calmes (le sang circule à un mètre par seconde près du cœur) ». Les premières versions testées du nanorobot, se déplaçant à l’aide de moteurs, sont placées au bout d’un cathéter, utilisé pour tirer l’appareil en cas de panne.
Les chercheurs tenteront bientôt de contrôler le microengin à distance, par des ondes d’une puissance de 2 à 3 watts, soit la puissance d’un téléphone portable ordinaire. Le robot sera, dans un premier temps, utilisé à des fins d’observation, puis de découpe et de ciselage. Placé au bon endroit dans le cerveau, il est imaginable qu’un microrobot permette de « lire » dans les pensées d’une personne ou même de la manipuler à distance, affirme le scientifique.